• Diabète : l'hôpital Erasme teste un nouveau type de capteur de glucose implanté

    Le Service d' Endocrinologie de l'Hôpital Erasme implante, pour la première fois en Belgique Francophone, un nouveau type de capteur de glucose chez 5 patients souffrant d'un diabète de type 1 annonce mercredi l'hôpital dans un communiqué . Il s'agit d'un capteur totalement implanté sous la peau pour une période de 3 mois, fournissant au patient par l'intermédiaire de son Smartphone, un suivi en continu, 24h sur 24 de l'évolution de sa glycémie ainsi que des alertes en cas de fluctuations dangereuses de la glycémie.

    Le nouveau système de capteur du glucose implantable Eversense, développé par Senseonics en partenariat avec Roche, "améliore la sécurité et la qualité de vie du patient diabétique de type 1 en transmettant à son propre smartphone l'évolution de la glycémie 24h sur 24, 7 jours sur 7." affirme l'hôpital. Des alarmes visuelles et auditives en cas de baisse ou de hausse dangereuses de la glycémie sont paramétrables via l'application téléchargée sur le smartphone. Si celui-ci n'est pas à proximité, un transmetteur collé sur la peau va aussi vibrer pour alerter du danger afin que le patient puisse prendre les mesures adéquates pour éviter, par exemple, une hypoglycémie sévère.

     Ce capteur fonctionne en continu pendant 90 jours (6 mois à terme) et est inséré sous la peau à l'Hôpital de Jour, sous anesthésie locale. "Ce nouveau type de capteur offre donc plus de liberté qu'un capteur classique qui doit être changé toutes les une à deux semaines. De plus, le transmetteur collé sur la peau est totalement amovible ce qui permet une meilleure flexibilité et une plus grande discrétion que les systèmes actuels." déclare l'hôpital dans son communiqué.

    Le coût actuel de cette nouvelle technologie est de 3.800 Euros par patient et par an et n'est pas pris en charge par la mutuelle. Néanmoins, quelques centres de référence du diabète en Belgique dont le Service d 'Endocrinologie de l'Hôpital Érasme ont été désignés par l'INAMI pour offrir le remboursement de cette nouvelle technologie, à titre expérimental, à certains patients diabétiques de type 1 traités par pompe à insuline dont les fluctuations glycémiques importantes les rendent particulièrement à risque.

     

    https://www.lespecialiste.be/fr/actualites/medical/diabete-l-hopital-erasme-teste-un-nouveau-type-de-capteur-de-glucose-implante.html

     

     

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  • D’abord, il faut être très clair : on n’attrape » pas le diabète car le diabète n’est pas une maladie contagieuse !

    Si certains diabètes comme le type 1 par exemple n’ont rien à voir avec l’alimentation, on sait que d’autres, comme le diabète de type 2, est très souvent lié à l’excès de poids : consommation de trop de calories aux dépend des graisses, des sucres simples et de l’alcool.

    C’est en bougeant peu et en mangeant trop et/ou mal que la surcharge pondérale s’installe et que le diabète peut « se déclencher », surtout s’il y a des antécédents dans la famille.

    C’est donc un problème très complexe liant l’excès  pondéral voire l’obésité , surtout abdominale, avec des facteurs héréditaires.

    Une bonne pratique à adopter est de mesurer son tour de taille : idéalement 80 cm pour les femmes (alerte à plus de 88 cm !) et maximum  92cm pour les hommes (alerte à plus de 100 !) et de suivre son poids par une pesée hebdomadaire.


    En terme de prévention, adopter une alimentation saine, équilibrée et pratiquer une activité physique quotidienne de 30 minutes s’avèrent être efficaces et vous aideront à maintenir une glycémie stable.

    Si vous pensez «  être à risque », demandez un contrôle glycémique sanguin afin de vérifier si la glycémie est normale, lors de votre bilan annuel de santé chez votre médecin traitant.

     

    http://www.diabete-abd.be/une-alimentation-saine/cest-en-mangeant-trop-sucre.aspx

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  • Boston, Etats-Unis – Marier l’art et la science, les dernières avancées technologiques et la tradition, le beau et l’utile, c’est en quelque sorte la base du projet Dermal Abyss mis au point par des 4 chercheurs du MIT de Boston en collaboration avec 2 chercheurs de l’Harvard Medical School. Leur idée : mettre au point un – joli – tatouage dont les teintes varient en fonction du taux sanguin de glucose, et pouvoir ainsi évaluer sa glycémie (et d’autres paramètres physiologiques) d’un seul coup d’œil [1]. Leurs travaux viennent d’être présentés à l’International Symposium on Wearable Computers 2017.

    La glycémie à fleur de peau

    Les tatouages sont à la mode, du moins sous leur forme traditionnelle, à savoir l’insertion dans le derme de pigments permanents non bio-dégradables. Dans un futur plus ou moins proche, le tatouage pourrait devenir informatif en plus d’être décoratif. Mais plutôt qu’une puce placée sous la peau et requérant un lecteur (comme cela se développe pour connaitre la glycémie des patients diabétiques), les chercheurs ont opté, ici, pour une visualisation des données physiologiques à même la peau.

    Transformer la peau en un « écran interactif » nécessite de réaliser un tatouage un peu particulier où l'encre traditionnellement injectée sous la peau est remplacée par des microcapteurs biologiques dont la couleur change en fonction du liquide interstitiel avec lequel ils sont en contact. « De la même façon que l’industrie des dispositifs portatifs connectés (wearable computers) s’est rapprochée des entreprises de la mode pour créer des vêtements intelligents, ici les experts en biotechnologies travaillent conjointement avec des spécialistes de la peau, dermatologues, chirurgiens plastique et tatoueurs pour développer ces dispositifs d’un nouveau genre » expliquent les chercheurs dans une vidéo sur leurs travaux.

     

    Dans ce cas précis, quatre types de capteurs dont la couleur varie dans différentes tonalités sont à l’étude : l’un sensible au pH, un autre au taux de glucose, un troisième au sodium. Le dernier capteur réagit, lui aussi, aux variations de pH mais fluoresce sous lampe UV.

    Réactions enthousiastes 

    Avoir un accès permanent et direct, sous une forme visuelle et artistique, à ses différents fluides corporels comme reflet immédiat des processus métaboliques internes est, bien sûr, extrêmement attrayant. Avec des applications médicales assez évidentes en termes de surveillance en continu pour les patients qui le nécessitent comme les diabétiques. Pour eux, se piquer quotidiennement à plusieurs reprises deviendrait caduque avec ce type de système puisqu’il leur suffirait alors de regarder vers quelles tonalités évolue le tatouage pour adapter leur traitement. La médiatisation du projet a d’ailleurs suscité des réactions enthousiastes de patients diabétiques qui ont contacté les chercheurs par e-mail en disant « Je veux l’essayer », a témoigné Xin Liu, l’une des responsables du projet au MIT, auprès de CBS News [2].

    Mais pas de commercialisation prévue dans l’immédiat

    Pour autant, si l’équipe de DermalAbyss a fait la preuve que ce concept d’interface biologique fonctionne, il s’agit toujours, à ce stade, d’un projet de recherche – mené ex vivo sur la peau de cochon – et il n’est pas prévu d’essais cliniques, et donc encore moins de commercialiser le produit dans l’immédiat. D’autant que subsiste un certain nombre de limites, comme le rappellent les chercheurs sur leur site, par exemple :

    • Etendre l’éventail de couleurs et d’intensité des capteurs actuels pour permettre de lire l’information avec une meilleure résolution.

    • Etablir le profil de sécurité de ces capteurs, avec des tests de toxicité et de biocompatibilité in vitro, avant de passer à des études in vivo chez l’animal.

    • Appréhender la façon dont les capteurs diffusent dans les tissus via des recherches in vivo sur le long terme. Une direction de recherche possible serait de conjuguer capteurs biologiques et microsphères en polymère pour prévenir une éventuelle diffusion dans les tissus, précisent-ils.

    « Il va se passer du temps avant que quoi que ce soit de concret arrive sur le marché, mais cela [cette technologie] stimule l’imagination et ouvre le champ des possibles » conclut joliment Xin Liu dans son interview à CBSNews [2].

     

     

     

    Le tatouage qui informe de la glycémie : une idée dans l’air du temps

    Comment éviter que les patients diabétiques ne soient obligés de se piquer plusieurs fois par jour pour connaitre leur glycémie ? Depuis une dizaine d’années, les chercheurs rivalisent d’imagination pour trouver des solutions et l’idée du « tatouage » qui permettrait de rendre visible à la surface de la peau le taux du glucose a effleuré de nombreux esprits et conduit à différentes tentatives.

    Ainsi, en 2010, des chercheurs du MIT travaillaient sur un projet de nanoparticules de carbone sensible à la concentration en glucose et qui fluorescent dans des longueurs proches de l’infrarouge [3]. Leur idée était de créer une solution de nanoparticules, que l’on injecterait à la manière d’une encre et formant un tatouage (temporaire) mais nécessitant un lecteur d’infra-rouges pour l’analyse.

    En 2015, des chercheurs de l’Université de San Diego ont publié dans Analytical Chemistry un article assurant qu’ils avaient fait la preuve du concept d’un autre type de « tatouage » temporaire, un dispositif flexible temporaire composé d'électrodes imprimées. Une fois appliqué sur la peau, ce tatouage produit pendant 10 minutes un courant électrique très léger afin de forcer les ions sodium présents dans le sang entre les cellules de la peau à migrer vers les électrodes (iontophorèse inverse) [4]. Ces ions transportent avec eux des molécules de glucose. Un capteur incorporé dans le tatouage mesure l’intensité de la charge électrique produite par le glucose, ce qui permet de déterminer le taux de glucose dans le sang du porteur. « La concentration en glucose qui est détectée est près de 100 fois inférieure à celle dans le sang, ce qui suppose de développer des capteurs avec une forte sensibilité et une grande sélectivité » explique l’un des chercheurs.

    Il y a fort à parier que le concept de tatouage, quelle que soit la forme qu’il prendra, gagne du terrain à l’avenir.

     

    Crédit photos : DermalAbyss

    https://francais.medscape.com/voirarticle/3603622#vp_2

     

     

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    • Description de l'image

    Les hypoglycémies, causées par un taux trop bas de sucre dans le sang, ne doivent par être prises à la légère. Comment reconnaître une hypoglycémie et quelles sont les solutions pour se resucrer ?

    Une hypoglycémie, c’est quoi ?

    On parle d’hypoglycémie lorsque la glycémie est inférieure à 0,60 g/L, bien que chaque patient définisse ses propres objectifs glycémiques avec son diabétologue. Elle peut être causée par différents facteurs :

    • un surdosage d’insuline,
    • la prise excessive de médicaments antidiabétiques oraux,
    • une collation ou un repas retardés ou sautés
    • une consommation trop faible de glucides,
    • une activité physique plus intense ou plus longue qu’habituellement,
    • la consommation d’alcool.

    On considère qu’il y a hypoglycémie lorsque la chute excessive du taux de glucosesanguin s’accompagne de symptômes caractéristiques et que ces symptômes sont eux-mêmes soulagés par le resucrage.

    L’hypoglycémie peut se manifester de diverses manières : faim, tremblements, palpitations, transpiration, vision trouble, pâleur, vertiges, nausées, maux de tête, troubles de la parole, changement d’humeur…

    Une hypoglycémie sévère, heureusement beaucoup plus rare, peut entraîner un coma et mettre la vie du patient en danger.

    Réagir rapidement

    L’hypoglycémie est à traiter dès les premiers symptômes. L’objectif est de faire remonter le taux de glucose dans le sang… Mais pas n’importe comment !

    Après avoir confirmé le diagnostic d’hypoglycémie avec un lecteur de glycémie, resucrez-vous en quantité suffisante mais pas excessive, car une trop grande quantité de sucre pourrait provoquer l’effet inverse : une hyperglycémie. 

    En pratique…

    15 grammes de glucides suffisent. Cela correspond à :

    • 3 morceaux de sucre dilués dans de l’eau,
    • 100 ml de limonade sucrée,
    • 1 cuillère à soupe de sirop (grenadine…) diluée dans ½ verre d’eau,
    • 1 petit verre de jus de fruit 100 % pur jus (ou un berlingot de maximum 200 ml).

    Les aliments liquides ont tendance à resucrer plus rapidement. Si vous n’en avez pas à disposition, vous pouvez aussi avaler :

    • 4 tablettes de dextrose (du type Dextro Energy ©),
    • 1 cuillère à soupe de confiture ou de miel. 

    Si la personne diabétique est inconsciente

    Une hypoglycémie sévère peu engendrer une perte de connaissance chez la personne diabétique. Dans cette situation, n’essayez en aucun cas de la faire boire ou manger, en raison du risque de fausse déglutition.

    Si vous êtes un proche, injectez-lui une dose de glucagon. Dans le cas contraire ou si vous ne parvenez pas à gérer la situation, appelez les secours en composant le 15 ou le 112.

    Les hypoglycémies ne sont jamais normales. La multiplication de celles-ci engendre une disparition progressive des symptômes, empêchant alors la personne diabétique de se rendre compte qu’elle est en hypoglycémie.

    En cas d’hypoglycémie, même ponctuelle, parlez-en avec votre diabétologue.

     

    Kathleen Mentrop

    Sources:
     
    Pr Antoine Avignon, responsable du département « Nutrition – diabète » au CHU Montpellier. L. Crenier. Savoir se resucrer. Revue ABD. 2010. Fédération Française des Diabétiques. Fiche hypoglycémie > https://www.afd.asso.fr/diabetique/glycemie/hypo . Société française d’endocrinologie. Item 206 – Hypoglycémie > www.sfendocrino.org/article/390/item-206-ndash-hypoglycemie
    https://www.dinnosante.fr/fre/33/etre-attentif-a-sa-sante/hypoglycemie-comment-se-resucrer
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  • Diabète et soins dentaires

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  • Manger un bol de 50g de Smacks revient à croquer plus de 4 morceaux de sucre.

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  • d-20160112-G58MPW 2016-01-12 12:14:41

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  • Sérum autologue : soigner ses yeux avec son sang ?

    A de nombreuses reprises, des lecteurs du blog m’ont interpellé à propos du sérum autologue. Est-il efficace ? Est-ce une thérapie adaptée aux yeux secs ? A vrai dire, je n’ai jamais testé cette solution. Néanmoins, ce sujet est revenu sur le devant de la scène ces derniers temps, avec la diffusion des résultats d’une étude scientifique, qui a duré quelques années. Les résultats sont plutôt encourageants… 

    Votre sang contient votre propre médicament

    Tout d’abord, qu’est-ce que le sérum autologue ? Le sérum, c’est la partie non-cellulaire du sang. C’est votre propre sang, auquel on a retiré les cellules sanguines (globules rouges, blancs, plaquettes), ainsi que les facteurs de coagulation.

    C’est donc un liquide constitué en majorité d’eau, mais également d’autres éléments comme des vitamines, des anticorps etc.

    Donnez à vos yeux un collyre plus proche des larmes

    Le gros problème des collyres, c’est qu’ils sont finalement assez éloignés de la formule chimique des larmes naturelles. Des larmes artificielles, ce ne sont que des gouttes d’eau salée ! Alors certes, cela permet parfois de calmer une sécheresse oculaire, mais on est encore loin de la panacée. L’œil se trouve recouvert d’un liquide neutre, qui n’a rien à voir avec des larmes naturelles, riches en minéraux, en anticorps etc.

    De « vraies » larmes, capables de soigner les cellules de la cornée

    Là intervient votre propre sang ! Le sérum autologue est fabriqué à partir de vous-même, de votre corps, de votre sang, pour être exact. Grâce à certains procédés (coagulation, centrifugation etc.), on sépare les cellules et le sérum sanguin, que l’on conserve précieusement.

    Ce sérum, on l’utilise pour créer un collyre, plus ou moins riche en sérum sanguin. Ce nouveau collyre devient alors beaucoup plus proche des larmes naturelles, puisqu’il contient des anticorps, des vitamines, des protéines et surtout, des « facteurs de croissance », qui permettent de soigner et de stimuler les cellules de l’épithélium (couche de cellules à la surface de l’oeil).

    Des études prouvent l’efficacité de la thérapie

    Un article paru sur Medscape, témoigne de l’efficacité du sérum autologue, dans le soin des yeux secs. En effet, une étude réalisée entre 2008 et 2013, sur 63 patients, a démontré que le sérum autologue amenait un mieux chez les patients, dans tous les cas et surtout, sans effets secondaires !

    Cette étude, réalisée par l’University of Michigan (département d’ophtalmologie et des sciences visuelles), a porté sur l’usage d’un collyre à base de 50% de sérum autologue. Des tests classiques ont été réalisés au départ, au bout d’un mois, puis tous les 3 à 6 mois durant le traitement.

    Des améliorations notables de la santé oculaire

    Les tests (Schirmer, etc) ont montré une amélioration durant le traitement. Les chercheurs ont conclu qu’un collyre à 50% de sérum autologue semblait être sans danger et efficace pour un traitement à long terme de la sécheresse oculaire. Ils ont également conclu que c’était là une solution pour les malades ayant épuisé les thérapies plus conventionnelles.

    Selon les chercheurs, le secret du sérum autologue réside dans le fait qu’il est très proche des larmes, car il contient de l’immunoglobuline, de la vitamine A, de la fibronectine et des facteurs de croissance. Autant de choses qui pourraient créer de « vraies fausses larmes » et ainsi, atténuer réellement, les symptômes des yeux secs.

    http://www.yeux-secs.fr/serum-autologue-soigner-ses-yeux-avec-son-sang/

     

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  • nems-patissons-patate-douce

     

    Une idée d’accompagnement original pour un apport en glucides modéré.
    Un goût original et subtil ainsi qu’une touche d’exotisme !
     Ces Nems cuits au four (donc allégés) accompagne à merveille un plat en sauce et idéalement se complètent avec des légumes ou des crudités en entrés.
    J’ai utilisé du Pâtisson pour cette recette mais elle se réalise aussi avec d’autres types de courges

     

    Recette de Nems à la Patate Douce et Pâtisson



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