• Diabète : Diabilive, l’application girondine séduit les Etats-Unis après le concours LépineBenoît Mirambeau, le PDG de la société et son associé, Nicolas Babin 
    MIRAMBEAU APP CARE

    MirambeauAppCare annonce à "Sud Ouest" la signature d’un accord le 9 janvier au CES à Las Vegas pour son application DiabiLive avec l’Américain iHealth, pionnier mondial des objets de santé connectée pour les professionnels et le grand public. Ce qui lui ouvre d’autres marchés

    En décrochant cet accord avec iHealth pour son application DiabiLive, la société girondine MirambeauAppCare réalise un joli coup pour sa première participation au CES de Las Vegas, qui lui ouvrir de nouveaux horizons. 

    Car, cette société américaine, pionnière des objets de santé connectée, est présente aux quatre coins du monde avec des bureaux aux Etats-Unis, en Chine, à Singapour et en France. Elle fabrique et distribue des produits de santé connectés innovants : des dispositifs médicaux et des applications pour le suivi des données de santé. Avec l’objectif d’aider les utilisateurs à mieux comprendre les signaux de leur corps afin qu’ils deviennent acteurs de leur santé.

     

    Un accompagnement novateur pour les malades du diabète

    La collaboration entre les deux entreprises permettra une connexion entre les produits iHealth dédiés au diabète et Diabilive qui pourra déterminer la dose d’insuline exacte à injecter aux patients. La solution girondine accompagne le patient diabétique en lui permettant une plus grande autonomie. Elle prend le patient dans sa globalité d’être humain en calculant sa dose d’insuline selon sa prescription médicale, sa diététique et son activité physique. Tout en facilitant le respect de cette prescription et l’anticipation des besoins à venir par une meilleure connaissance de lui-même et de ses soins.

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    "Pouvoir nous associer à une marque aussi prestigieuse et reconnue que iHealth est un honneur et un privilège pour MirambeauAppCare. La force des produits de iHealth combinée à la technologie unique de DiabiLive vont permettre aux patients de mieux se gérer et de mieux se connecter pour ne plus se sentir seuls. De plus, cet accord est international et nous permet de nous lancer immédiatement sur des marchés mondiaux", se réjouit d’ailleurs Benoît Mirambeau, PDG de MirambeauAppCare.

    "La prévention et la gestion des maladies chroniques, notamment du diabète, est une priorité pour nous. Nous sommes donc ravis de cette collaboration avec MirambeauAppCare. L’application DiabiLive combinée à nos glucomètres connectés offre aux personnes diabétiques une solution innovante et simple d’utilisation pour la prise en charge de leur santé", souligne, pour sa part, Stéphane Kerrien, CEO de iHealth Labs Europe.

    De prestigieux prix décrochés

    Pour mémoire, l’application DiabiLive a reçu le prix du président de la République au Concours Lépine International Paris 2016 et le prix Innovation Awards 2018 du CES Las Vegas dans les catégories de produits logiciels et applications mobiles.

    Une belle histoire pour le patron du drive Auchan à Agen, qui, pour aider sa mère à mieux vivre avec son diabète, a imaginé avec des médecins, une application sur smartphone. "Quelques semaines après, mon père m’a dit qu’il ne reconnaissait plus ma mère et ils sont partis en vacances, ce qui n’était pas arrivé depuis 15 ans !", rapporte-t-il. Désormais, Benoît Mirambeau veut en faire partager les bénéfices au plus grand nombre de personnes atteintes de cette maladie.

    http://www.sudouest.fr/2018/01/08/diabete-diabilive-l-application-girondine-seduit-les-etats-unis-apres-le-concours-lepine-4089835-705.php

     

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  • Avant la découverte de l'insuline en 1921, aucun traitement n'existait pour soigner le diabète.

    Avant la découverte de l'insuline en 1921, aucun traitement n'existait pour soigner le diabète. — JAUBERT/SIPA

    • Avant la découverte de l’insuline, aucun traitement efficace ne permettait de soigner le diabète.
    • Les patients qui en souffraient ne survivaient que quelques années avant de succomber à la maladie.
    • Jusqu’en 1921, lorsqu’un trio de chercheurs canadiens a découvert et extrait l’insuline, une hormone produite par le pancréas : le premier traitement contre le diabète a alors vu le jour.

    Pendant les vacances de Noël, 20 Minutes revient sur les « premières fois » qui ont marqué l’Histoire de la médecine en partenariat avec Retronews, le site de presse de la Bibliothèque nationale de France. Aujourd’hui, retour sur la découverte de l’insuline, traitement de référence du diabète.

    Il est connu depuis plus de 6.000 ans, pourtant, les millénaires se sont écoulés sans qu’aucun traitement efficace ne permette de vivre avec le diabète. Jusqu’au début du XXe siècle, les enfants atteints de diabète de type 1 étaient ainsi tous promis à un sort funeste. C’est en 1921 que le cours de l’histoire a changé, avec la découverte de l’insuline, le médicament de référence encore près d’un siècle plus tard.

    Une longue histoire du diabète

    Le diabète a pourtant fait parler de lui très tôt. De vieux textes chinois datant de 4.000 ans avant notre ère parlent déjà d’un mal désigné par « l’urine sucrée ». Puis, 2.500 ans plus tard, sous le règne d’Aménotep 1er en Egypte, le Papyrus Ebers, l’un des plus anciens traités médicaux à avoir été découvert, fait lui aussi mention d’un mal qui, comme le diabète, provoque soif intense, envie fréquente d’uriner et amaigrissement. C’est d’ailleurs de ces constatations que vient le terme de « diabète », qui signifie passer au travers en latin, comme si eau et nourriture passaient au travers du corps des diabétiques sans les nourrir.

    Mais les siècles passent et la compréhension du diabète n’évolue pas. Longtemps, l’ersatz de traitement prescrit consiste en une diète d’une rare sévérité. « Avant la découverte de l’insuline, les jeunes patients étaient soumis à un régime extrêmement strict et tous devenaient cadavériques et finissaient par mourir », décrit le Pr Eric Renard, coordinateur du département d’endocrinologie, diabète, nutrition au CHU de Montpellier.

    Le tournant s’opère dans la deuxième moitié du XIXe siècle, en 1890, lorsque le scientifique allemand Oskar Minkowski fait une découverte fondamentale dans la recherche sur le diabète. Il retire le pancréas d’un chien et observe que l’animal développe dans la foulée les symptômes du diabète. L’insuline n’est pas encore découverte, mais « Minkowski a démontré que le diabète apparaissait chez les sujets dont on avait retiré le pancréas, l’organe qui produit la sécrétion directement liée à l’apparition de la maladie », explique le Pr Renard.

    La découverte de l’insuline et son extraction

    Dès lors, « les chercheurs ont travaillé à "remettre du pancréas" chez les diabétiques pour contrer le processus, expose le médecin. C’est le très polémique Nicolae Paulescu qui est le premier à avoir découvert l’insuline, qu’il nomme alors "pancréine", et à avoir réussi son extraction ». Mais l’histoire retiendra surtout les travaux d’un trio de chercheurs canadiens, qui mettent au point le tout premier traitement contre le diabète. Cet été-là, Frederick Grant Banting et Charles Best, sous la houlette de John Macleod, découvrent que des cellules du pancréas, les îlots de Langerhans, identifiés pour la première fois en 1869, produisent une hormone qu’il est possible d’extraire et d’utiliser pour soigner le diabète. Cette hormone, les chercheurs décident de la nommer « insuline », un petit clin d’œil aux fameux îlots de Lagerhans, puisqu’en latin, îlot se dit insula.

    A l’époque, l’insuline est extraite du pancréas de porcs ou de bœufs. Et si aujourd’hui, des années d’études cliniques sont nécessaires avant qu’un médicament ne soit testé sur l’homme, à l’époque, la nécessité précipite le premier test humain. Ainsi, au début de l’année 1922, alors que le jeune Leonard Thompson, un enfant de 14 ans atteint de diabète de type 1, plonge dans le coma et est promis à une mort certaine, les médecins canadiens lui injectent l’insuline qu’ils ont mise au point. « L’enfant était d’une maigreur extrême et son cas était sans espoir, raconte le Pr Renard, c’est ce traitement testé pour la toute première fois qui a permis sa survie »

    http://www.20minutes.fr/sante/2192787-20171229-histoires-medecine-comment-insuline-decouverte-soigner-diabete

     

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    L’hyperglycémie correspond à une glycémie supérieure ou égale à 180mg/dL.

     

     

     

    Dans le diabète, le déficit (total ou partiel) en insuline empêche le glucose d’entrer dans les cellules : le glucose s’accumule dans le sang et la glycémie augmente.

     

    Quand la glycémie est supérieure à 180mg/dL, les reins se mettent à éliminer le sucre par les urines : du glucose se retrouve dans celles-ci (= glycosurie). Cette présence de sucre dans les urines attire l’eau (= on urine beaucoup) et le corps réagit à ce phénomène en créant une intense sensation de soif.

     

     

     Source image: http://tpediabete67.skyrock.com/

     

    Quand l’hyperglycémie se prolonge, les organes ne reçoivent plus le sucre nécessaire à leur fonctionnement (le glucose est présent dans le sang mais il manque l’insuline nécessaire pour le faire entrer dans ces derniers). Le corps recherche donc une autre source d’énergie : les graisses.

     

     

     Source image: http://www.aboutkidshealth.ca/fr/
     

    • La combustion de ces graisses entraîne une production de déchets dans les urines et le sang: les corps cétoniques.

    • Les cétones s’accumulent dans le sang (= cétose) et le rendent acide, ce qui provoque des maux de ventre, des nausées, des vomissements, une somnolence, … On peut alors retrouver également des corps cétoniques dans les urines (= cétonurie). Cette cétonurie est le véritable signal d’alarme avant l’acidocétose.

    • En effet, dans cet état, le corps s’épuise progressivement, le niveau de conscience diminue vers un état d’hébétude et, après quelques jours, on risque le coma.


      Ce phénomène apparaît presque exclusivement dans le diabète de type 1 (= baisse totale de la production d’insuline par le pancréas). Il est beaucoup moins présent dans le diabète de type 2 grâce à la production persistante d’insuline.

     

     

     Source image: https://www.accu-chek.fr/

     

    Comme pour l’hypoglycémie, il est important pour la personne diabétique de connaître « ses » propres symptômes d’hyperglycémie. Parmi les symptômes les plus rencontrés, on peut citer :

     

    • Langue sèche, bouche pâteuse.

    • Sensation de soif.

    • Urines fréquentes et en grandes quantités.

    • Fatigue, somnolence.

    • Vision floue.

    • Sensation de malaise.

    • Changement d’humeur, irritabilité.

    • Douleurs abdominales.

    • Nausées, vomissements.

    • Perte d’appétit.

    • Peau sèche.

    • Déshydratation.

    • Tension basse.

    • Amaigrissement rapide si l’état se prolonge.
       

     

     Source image: https://www.accu-chek.fr/

     

    L’hyperglycémie peut avoir de nombreuses causes. Parmi celles-ci :
     

    • Un repas trop abondant en sucres ou une quantité de glucides mal évaluée (= insulinothérapie fonctionnelle).

    • Un oubli dans la prise du traitement ou une dose insuffisante en insuline.

    • Un état de stress, d’anxiété.

    • Un état infectieux : fièvre, maladie, …

    • Certains médicaments (notamment  la cortisone qui est une hormone hyperglycémiante, contrairement à l’insuline qui est une hormone hypoglycémiante).

    • Un exercice physique plus réduit que d’habitude.
       

     
    Recherche acétone
     
     
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    Source image 1: https://www.vidal.fr/

    Source image 2: http://www.vivreavecundiabete.com/

     

    Que faire lorsque l’on constate que l’on est en hyperglycémie prolongée suite à deux contrôles de glycémie supérieurs à 250mg/dL espacés de plusieurs heures ? 
     

    • Rechercher la présence d’acétone dans le sang ou les urines.

    • Prévenir son infirmière de référence ou son diabétologue et/ou suivre son schéma (= injections d’insuline à intervalles réguliers jusqu’à ce que les corps cétoniques disparaissent).

    • Boire beaucoup.

    • Vérifier régulièrement sa glycémie et la présence d’acétone.

    • Manger normalement, en respectant son traitement habituel et ses doses en insuline.

    • Signaler l’événement dans son carnet de surveillance.

    • Prévenir de toute façon  son infirmière de référence ou son diabétologue si l‘état persiste.

       

       
      Hyperglycémie - Diabetes.co.uk
       
       
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      Source images:  http://www.diabetes.co.uk/forum


      Comment prévenir les hyperglycémies?
       

    • Essayer de respecter un certain équilibre alimentaire ; être vigilant dans l’estimation de ses glucides en cas de pratique de l’insulinothérapie fonctionnelle.

    • Pratiquer régulièrement une activité physique.

    • Avoir toujours chez soi des bandelettes afin de pouvoir analyser la présence de cétones dans le sang ou les urines.

    Tags:

    diabète

    diabète de type 1

    diabète de type 2

       https://www.alfredlediabete.com/single-post/2017/12/26/Lhyperglyc%C3%A9mie

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  • guerir le diabete

    Avis à tous les incrédules, les polémistes, tous ceux pour qui être positif est déjà une maladie, l’article qui suit ne vous concerne évidemment pas. Merci de garder vos sarcasmes et commentaires, surtout si les mots : « guérir le diabète » vous sont insupportables. La science et des chercheurs dans le monde entier travaillent pour que cette maladie, dans un temps futur, soit éradiquée, et ce temps, n’est pas si loin.

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  • Depuis maintenant 20 ans, des chercheurs finlandais travaillent sur un vaccin contre le diabète qui permettrait d’immuniser l’organisme contre un virus appelé Coxsackievirus B1 (CVB1).
    Un prototype de vaccin reposant sur 20 ans de recherches pourrait être prometteur pour la prévention du diabète de type 1. En 2014, un lien a été établi entre les enténovirus et l’apparition du diabète de type 1.
    Les enténovirus correspondent à un groupe d’une centaine de virus pouvant causer pour certains des maladies graves comme la poliomyélite ou la méningite.
    Aujourd’hui, le vaccin fonctionne sur des souris et il est sûr. La prochaine étape consiste donc à le tester sur des humains. Des essais cliniques sont d’ailleurs prévus pour 2018.
    Dans tous les cas, il faudra attendre au moins 8 ans avant que les résultats ne permettent de tirer des conclusions quant à l’efficacité du vaccin et ainsi permettre sa commercialisation.
    Le vaccin contre le diabète serait destiné à prévenir l’apparition du diabète de type 1 chez les enfants en les immunisant contre certains entérovirus. Il ne pourra malheureusement pas être utilisé pour soigner des diabètes déjà existants, mais il représente néanmoins une révolution dans la prévention et la lutte contre une maladie qui touche environ 200 000 Français et dont les chiffres ne cessent de croître.
    Sources : Developing a vaccine for Type 1 diabetes through targeting enteroviral infections. Heikki Hyöty & Co. Expert Review of Vaccines Volume 13, 2014 – Issue 8 et Maxisciences.com
     
    https://www.facebook.com/notes/roche-diabetes-care-france/vaccin-contre-le-diab%C3%A8te-une-avanc%C3%A9e-qui-pourrait-%C3%AAtre-prometteuse-pour-la-pr%C3%A9ve/1765905900149283/
     
     
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