• Diabète et Surdité
     
    Les diabétiques sont deux fois plus susceptibles de souffrir de déficience auditive
    Une étude américaine confirme que la déficience auditive est plus prévalente chez les adultes diabétiques que pour le reste de la population. 
     
    Une étude américaine nationale a confirmé qu’il existe une corrélation entre le diabète et la déficience auditive, ce que d’autres études avaient auparavant indiquées. Cette nouvelle étude a trouvé que la prévalence parmi les diabétiques est deux fois plus élevée que pour le reste de la population.

    Sur base des résultats de l’étude, les chercheurs estiment que le diabète est un facteur de risque significatif pour la déficience auditive et que la déficience auditive a été sous-estimée comme complication suite au diabète. Le diabète peut endommager les nerfs de l’oreille interne ainsi que les vaisseaux sanguins. Ceci peut être interprété comme une cause possible de l’augmentation de la prévalence de la déficience auditive.
     
    Les résultats sont valides pour tous les adultes diabétiques 
    L’étude effectuée par l’Institut National de Santé comprend 5.140 individus âgés de 20 à 69 ans. Près d’un sur dix est diabétique.

    Parmi ceux qui souffrent de diabète, 21 pour cent avaient une déficience auditive aux basses et moyennes fréquences, comparé à 9 pour cent pour les non diabétiques. 54 pour cent des diabétiques avaient des difficultés à entendre les sons à haute fréquence, comparé à 32 pour cent pour les non diabétiques.

    Les données tenaient compte de la sénescence auditive et sont valides pour tous les adultes diabétiques, peu importe leur sexe, leur origine, leur niveau d’étude et salaire.

    Vu la corrélation importante entre la déficience auditive et le diabète, les chercheurs recommandent que des contrôles de routine soient effectués pour tous les diabétiques.
     
    Source: Annals of Internal Medicine, volume 149, number 1
     
    Le diabète de type 1 peut être une cause de surdité chez l'enfant Les enfants dont le diabète est mal équilibré peuvent perdre assez tôt leur acuité ...
    www.cis.gouv.fr/spip.php?article201-627k
     
    Ah ben je savais pas que la surdité pouvait être une conséquence du diabete, je savais pour les yeux , le coeur, les pieds etc ..... mais ...
    forum.doctissimo.fr/sante/diabete/premiers-symptomes-diabete-sujet_148233_1.htm72k


    CAPPA – SOURDS – HAÏTI
    Centre d'Aide aux Personnes à Problèmes Auditifs 

    05, 2ème Ruelle Jérémie, Lalue. Port-au-Prince Haïti
    P.O. Box 1204  Port-au-Prince Haïti (WI)

    Téléphones (509) 3446-6646, 3932-1637, 3710-4711, 3793-4873.
    Site Web: http://www.freewebs.com/cappahaiti
    E-mail; cappa_sourd@...cap_pa@...

     

    https://fr.groups.yahoo.com/neo/groups/surdite/info

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  • Selon le rapport du Global Drug Survey, 60 % des personnes interrogées reconnaissent que leur consommation d'alcool les exposent à un risque élevé de problèmes. Un chiffre qui inquiète les experts. Pour mieux comprendre ce produit et ses effets, un passage en revue des idées reçues et autres mythes liés à l'alcool s'impose. 

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  • Alors que les ados essayent de carotter l’école, Noémi se bat pour y aller, voir ses amis, vivre.

    Alors que les ados essayent de carotter l’école, Noémi se bat pour y aller, voir ses amis, vivre.

     

    Noémie, 13 ans, souffre de la maladie des lèvres bleues. Cette maladie grave transforme une balade sur la plage en mission presque impossible.

    Noémie Bart a 13 ans. elle est élève en première secondaire à Gand. Une école que sa maman, Danielle, a choisie avec soin. «Aucune école ne peut interdire à un élève de venir. Mais on voit vite la réaction des gens quand on parle de la maladie. Il fallait une école qui pouvait gérer la gravité de la maladie de Noémi, qui peut faire un arrêt cardiaque, faire des complications…»

    À l’école, ça se passe plutôt bien pour Noémi. «J’ai des copains qui m’aident, qui portent ma mallette. Quand je manque l’école parce que je suis à l’hôpital, on fait en sorte que j’aie toutes les infos pour me mettre à jour.» L’adolescente a besoin du lien social que lui procure l’école… car elle est au grade 3 de sa maladie: elle a dû laisser tomber le jazz et le ballet. Son état ne lui permet plus de pratiquer du sport, sauf l’hippothérapie. Quand la maladie atteindra le grade 4, elle sera en attente de greffe.

    La maladie des lèvres bleues

    La maladie de Noémi s’appelle hypertension artérielle pulmonaire (HTAP). C’est en 2007 que le diagnostic est posé. «Nous étions en vacances pour une semaine. Noémi a eu mal au cœur, des palpitations… et elle avait les lèvres bleues.» Danielle sonne au pédiatre en lui expliquant les symptômes. « Il nous a mis directement en contact avec l’hôpital de Gand, et a pris un rendez-vous en cardiologie. Par chance, le diagnostic d’hypertension pulmonaire a été posé tout de suite… Le ventricule droit avait cinq fois la taille d’un cœur normal.»

    «

    Le cancer, c’est grave, je n’aimerais pas en avoir un. Mais ce n’est pas la seule maladie qui existe.

    »

    Noémi a été soignée par des béta bloquants. En 2009, on ajoute de nouveaux médicaments: « Du Viagra (Sildénafil) pour irriguer les poumons, des puffs pour ouvrir les bronches », explique sa maman.

    Noémi va toutes les trois semaines chez le cardiologue et le pneumologue. Une fois par semaine, le kiné vient pour l’aider à expectorer les glaires. Et jusqu’à 7 jours sur 7 lors des hivers rigoureux. Elle a été hospitalisée 4 jours en janvier, 5 en février… «Quand elle tombe en syncope, l’école l’envoie directement à l’hôpital universitaire de Gand, pour voir si son état s’est aggravé », dit Danielle.

    La jeune fille peut partir en vacances, mais pas sans avoir pris contact avec l’hôpital le plus proche. Il faut respecter les horaires des médicaments… ne pas aller en villégiature en altitude (au-delà de 1500 m, son état se dégraderait en quelques jours) ni voyager en compagnie low cost, car la pression dans la cabine rendrait difficile sa respiration.

    Noémi est une fille très mature, attachante. Elle n’a pas l’air malade, avec son grand sourire et ses joues bien roses, grâce au Viagra… Pourtant, elle a parfois des coups de blues «C’est dur pour elle de penser qu’il est exclu d’avoir des enfants» dit sa maman. Elle peut être très cash, par exemple avec le médecin qui lui parlait de sa future transplantation, à qui elle a demandé: « Tu m’ouvres comment?»

    «

    Quand elle tombe en syncope, l’école l’envoie directement à l’hôpital universitaire.

    »

    La greffe

    Quand le cœur sera trop faible, Noémi sait qu’elle devra être greffée. «Je trouve ça dommage que des gens refusent encore de donner les organes de leur fils ou de leur fille qui décède. C’est le plus beau cadeau qu’on puisse faire», dit la jeune fille.

    Par l’association Blue lips campaign, Noémi a fait connaissance de Charlotte, 15 ans. Diagnostiquée il y a un an, elle a été transplantée début mars. «Elle a attendu six semaines en urgence européenne avant d’avoir des poumons», explique Danielle.

    Ce qui frustre Noémi, c’est qu’elle trouve que l’on ne parle pas assez de l’hypertension artérielle pulmonaire. « Le cancer, c’est grave, je n’aimerais pas en avoir un, explique l’adolescente. Mais ce n’est pas la seule maladie qui existe. On devrait faire de la recherche pour les autres maladies aussi.»

     

    http://www.lavenir.net/article/detail.aspx?articleid=DMF20140507_00472974&utm_source=lavenir&utm_medium=newsletter&utm_campaign=daily&utm_content=general-news&ID=112969&POSTALCODE=1200&M_BT=6905773542

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  • Quelques jours après l’annonce fracassante de l’obtention de cellules souches embryonnaires à partir des techniques de clonage thérapeutique depuis des cellules adultes, une autre équipe de scientifiques a réussi le même exploit, en allant un peu plus loin. Travaillant avec une patiente touchée par le diabète de type 1, ils sont parvenus à différencier les cellules souches en cellules sécrétrices d’insuline.

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  • Accueil > Santé > Des tests moléculaires détectent les allergies croisées

    Des tests moléculaires détectent les allergies croisées

    Sylvie Riou-Milliot

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    Publié le 02-05-2014 à 17h03

    Comment savoir si une allergie à la pomme est due au fruit lui-même ou... au pollen du bouleau ?

    Le pollen de bouleau (ci-dessus) et la pomme partagent un antigène commun qui explique l'existence d'allergies croisées à ces deux végétaux. SPL / BIOSLe pollen de bouleau (ci-dessus) et la pomme partagent un antigène commun qui explique l'existence d'allergies croisées à ces deux végétaux. SPL / BIOS
     

     

     

    Réponse : en se servant de tests dits d’allergologie moléculaire. On sait en effet désormais que les allergènes sont des puzzles constitués de protéines différentes qui n’ont pas toutes la même "gravité" allergique. Ces différences sont dues à des particularités chimiques qui les rendent plus ou moins résistantes à la chaleur, à la digestion…

    A l'origine, un antigène commun

    Aujourd’hui, avec les techniques de biologie moléculaire, on peut synthétiser les pièces de ce puzzle en détaillant chacun des antigènes dits recombinants qui les compose. La pomme et le bouleau partagent ainsi un antigène commun, ce qui explique cette allergie "croisée".

    Le diagnostic gagne en finesse et permet de personnaliser les conseils

    Désormais, l’allergologue peut prescrire un examen qui consiste à rechercher, dans le sang du malade, les IgE, ces anticorps spécifiques dirigés contre telle ou telle fraction protéique. Ainsi, si le test est positif à l’antigène commun à la pomme et au bouleau, il sera possible de proposer au patient une désensibilisation au bouleau… ce qui
    lui permettra de manger des pommes, alors qu’il n’existe aucun traitement de désensibilisation à la pomme. « Le diagnostic gagne en finesse et permet de personnaliser les conseils », précise le Dr Philippe Auriol, allergologue à Bordeaux, cofondateur d’un site consacré à l’allergologie moléculaire et déjà utilisé par plus de 2000 spécialistes.

    Cet article est extrait d'un dossier sur les allergies, publié dans Sciences et Avenir n°807.

    http://www.sciencesetavenir.fr/sante/20140502.OBS5959/des-tests-moleulaires-detectent-les-allergies-croisees.html

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  • Le plus grand reproche qui est fait à des groupes agro-industriels ou de chimie comme Montsanto, plus encore que les techniques de plantes OGM, est sans doute celui de vouloir s’accaparer la propriété du vivant, et notamment des graines. L’initiative « Graines open source » ou « semences open sources » vise à les en empêcher.

    Des semences en open source !

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  • D'ici quelques années, ce petit dispositif pourrait bouleverser la vie des patients équipés d'un stimulateur cardiaque...


    Avec la biopile, les porteurs de stimulateurs cardiaques n'auront plus besoin de repasser sur le billard pour une chirurgie de révision. 

     

    Cocorico ! Une équipe de recherche de l'université Joseph-Fourier à Grenoble, dirigée par le médecin et mathématicien Philippe Cinquin et le bio-électrochimiste Serge Cosnier, vient d'être retenue par l'Office européen des brevets pour la finale du Prix de l'inventeur européen 2014 dans la catégorie "Recherche".

    D'autres chercheurs grenoblois travaillent également à un pacemaker autonome, qui sera pour sa part alimenté en l'énergie par les mouvements du corps et du cœur du malade.

    Leur idée géniale, brevetée en 2010 : une pile miniature et implantable qui produit de l'énergie... en exploitant le glucose présent dans notre sang. "Nous récupérons l'énergie du corps humain d'une manière très semblable à celle de la nature", explique Philippe Cinquin.

    "[Dans notre organisme], les cellules transfèrent les électrons [des molécules] de glucose vers l'oxygène, et cela produit de l'énergie. C'est exactement ce que nous faisons dans notre biopile à glucose... si ce n'est que nous sommes moins performants que la nature !"

    En laboratoire, ce dispositif parvient à générer une puissance de 1 watt par cm2 en contact avec le milieu externe, "ce qui est suffisant pour alimenter un stimulateur cardiaque conventionnel", selon ses créateurs.

    La pile produit de l'énergie tant que du glucose est présent dans son environnement immédiat. Pour éviter que des protéines ne se déposent à la surface de la pile - et n'entraînent, à terme, l'interruption de son fonctionnement - les chercheurs l'ont recouvert d'un composé uniquement perméable au glucose et à l'oxygène, et sur lequel aucune molécule ne peut avoir prise.

    Le Prix de l'inventeur européen sera décerné le 17 juin prochain à Berlin.

    Sources :
    - Mediatorless high-power glucose biofuel cells based on compressed carbon nanotube-enzyme electrodes. Zebda A, Gondran C, Le Goff A, Holzinger M, Cinquin P, Cosnier S. Nat Commun. 28 juin 2011 doi: 10.1038/ncomms1365
    - A glucose biofuel cell implanted in rats. Cinquin P, Gondran C, Giroud F, Mazabrard S, Pellissier A, Boucher F, Alcaraz JP, Gorgy K, Lenouvel F, Mathé S, Porcu P, Cosnier S. PLoS One. 4 mai 2010 doi:10.1371/journal.pone.0010476.

     

    http://www.allodocteurs.fr/article.asp?idarticle=13305

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  • Les patients chroniques systématiquement punis ?

    Editoria

    Je n’ai certes pas, dans cet éditorial, la prétention de régler définitivement l’épineux (et récurrent) problème du coût de la santé en Suisse. Mais je souhaite éclairer certains faits qui me semblent trop souvent ignorés ou passés sous silence.


    Tout d’abord, il faut bien comprendre que les affections chroniques constituent la plus grosse part des dépenses de santé dans les pays dits industrialisés : elles représentent 70%, voire 75% des coûts totaux !

    Par maladies chroniques, on entend des affections que l’on soigne ou contrôle, mais que l’on ne guérit pas définitivement, comme le diabète, les cancers, les maladies dégénératives neurologiques, les maladies cardiovasculaires, l’asthme et les maladies pulmonaires obstructives, etc.

    Or les frais induits par ces affections sont incontournables. De plus, en raison du vieillissement de la population et des progrès dans le traitement de ces mêmes maladies, la réduction des dépenses dans ce domaine est extrêmement compliquée !

    Cette réduction des dépenses est rendue encore plus difficile par le fait qu’un traitement novateur, souvent onéreux, ne pourra porter ses fruits qu’au bout de plusieurs années. En conséquence, à ses débuts, il est très souvent vigoureusement combattu par les caisses maladie, obsédées par un profit à court voire à moyen terme.

    En tant que diabétologues, nous avons, mes confrères et moi, été soumis à des tracasseries administratives, dont le but avéré était de nous décourager de prescrire certains traitements.

    Dans le même ordre d’idées, une assurance maladie, que je ne citerai pas, a décidé d’obliger les patients à payer leurs médicaments de leur poche avant d’être remboursés, au noble motif de les responsabiliser.

    • Les responsabiliser, cela peut se justifier pour de simples traitements de confort. Mais ce prétexte est un pur scandale au détriment des malades chroniques, consommateurs obligés qui doivent ainsi débourser des sommes très importantes. Bon nombre d’entre eux ne peuvent pas avancer de tels montants, avec les conséquences que l’on peut imaginer.

    • De plus, contester l’avis d’un spécialiste, pour des raisons souvent fuligineuses, ou obliger systématiquement le patient à passer devant son généraliste avant toute consultation spécialisée, ne constitue pas, à mes yeux, la panacée qui résoudra les problèmes des coûts de la santé en Suisse.

    Souhaitons que notre Conseiller fédéral Alain Berset, en charge de la Santé, averti de ces problèmes, prenne les décisions les plus adéquates.


     

    Dr Nicolas von der Weid

    http://www.d-journal-romand.ch/articles/archive/les-patients-chroniques-systematiquement-punis-113/

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