• Beaucoup l'ignorent mais de nombreux aliments de notre quotidien possèdent la capacité de soutenir et renforcer notre système immunitaire. Ils ont en effet des propriétés bactéricides et antivirales et permettent au système immunitaire d'être plus efficace. Pour vous préparer à cette période de grand froid et pour minimiser les risques de tomber malade, nous avons sélectionné pour vous les 10 aliments qui boosteront votre système immunitaire pour l'hiver.

    Regardez les photos 

    En savoir plus sur:

    http://weekend.levif.be/lifestyle/culinaire/10-aliments-pour-booster-votre-systeme-immunitaire/diaporama-normal-358399.html
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  •  

     

    L'équipe de Diab Bruxelles vous souhaite de passer de joyeuses fêtes entourés de ceux que vous aimez .

    Je remercie particulièrement Dan pour son aide précieuse.

     

     

     

    Malik notre mascotte

     

     

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  • III. La glycémie est régulée par des hormones pancréatiques

    A) Mise en évidence du rôle du pancréas dans la régulation de la glycémie

    A la fin du XIXème siècle, une expérience d'ablation du pancréas chez un animal à jeun a montré que sans pancréas la glycémie augmente notablement.

    L'ablation du pancréas entraîne une augmentation de la glycémie
    L'ablation du pancréas entraîne une augmentation de la glycémie

    Au début du XXème siècle, Banting et Best  injectent des extraits de pancréas à un chien auquel ils avaient préalablement retiré le pancréas. Cela a fait notablement baisser la glycémie du chien.

    Ces expériences montrent que, malgré le fait que le pancréas ne stocke ni ne libère de glucose dans le sang, il joue un rôle essentiel dans la régulation de la glycémie. Le mécanisme de régulation implique des messages chimiques régis par le pancréas.


    B) Le pancréas est un organe endocrine

    L'observation au microscope du pancréas montre la coexistence de deux ensembles de cellules dans celui-ci :
    - les cellules des acini qui constituent l'essentiel de la masse du pancréas. Elles sécrètent du suc digestif déversé par des canaux collecteurs dans l’intestin ; c’est la fonction exocrine du pancréas.
    - le reste (1 à 5%) est constitué de minuscules amas cellulaires dispersé entre les acini : les îlots de Langerhans. Ces îlots sont dépourvus de canaux mais irrigués par des capillaires sanguins. Ce sont ces îlots de Langerhans qui sécrètent les hormones régulant la glycémie : c’est la fonction endocrine du pancréas.

    Cellules du pancréas
    Cellules du pancréas

    Une observation plus poussée des îlots de Langerhans révèle que ceux-ci contiennent 2 types de cellules :
    - les cellules α à la périphérie,
    - les cellules β au centre.
    Le pancréas sécrète deux hormones : l’insuline et le glucagon.
    L'insuline est fabriquée par les cellules β et le glucagon est fabriqué par les cellules α. Les îlots de Langerhans étant richement vascularisés, ces cellules libèrent directement les hormones dans le sang.

    Le pancréas a donc une double fonction : la sécrétion d'enzymes digestives et la fabrication d'hormones libérées dans le sang permettant la régulation de la glycémie.


    C) L’insuline est une hormone hypoglycémiante

    Cette hormone a été découverte en 1922 ; les cellules β, qui sont en centre des îlots de Langerhans, sont des capteurs de glycémie, c'est-à-dire elles sont directement sensible à la glycémie.

    Les cellules β sécrètent l’insuline, qui est un polypeptide de 51 acides aminés : plus la glycémie augmente, plus la libération d’insuline augmente.

    L’insuline sanguine n’agit que sur des cellules possédant des récepteurs protéiques spécifiques dans leur membrane plasmique : ce sont des cellules cibles. L’insuline ne pénètre pas dans ces cellules.

    L’insuline agit sur des très nombreuses cellules cibles :
    - cellules hépatiques,
    - cellules musculaires,
    - cellules des tissus adipeux (les adipocytes),
    - plus d’autres organes, sauf les cellules du système nerveux.

    L’insuline a plusieurs rôles :
    - favoriser la pénétration du glucose dans le foie,
    - favoriser son utilisation dans la respiration cellulaire dans les muscles,
    - stimule la glycogénogenèse et inhibe la glycogénolyse (=> stockage du glucose sous forme de glycogène accru dans le foie),
    - stimule la lipogenèse à partir du glucose et inhibe l'hydrolyse des graisses.

    De façon générale, l'insuline favorise donc le stockage du glucose et favorise son utilisation => elle fait donc baisser le taux de glucose dans le sang. L'insuline fait donc baisser la glycémie : c'est une hormone hypoglycémiante. C'est la seule hormone hypoglycémiante que l’organisme possède.


    D) Le glucagon est une hormone hyperglycémiante

    Les cellules α, situées à la périphérie des îlots de Langerhanss sont aussi des capteurs de la glycémie.

    Les cellules α sécrètent du glucagon (polypeptides de 29 acides aminés). Plus la glycémie baisse, plus la libération de glucagon augmente.

    Le glucagon se fixe également sur des récepteurs spécifiques sur les membranes des ces cellules cibles, qui sont uniquement des cellules hépatiques.

    Le glucagon fait augmenter la glycémie => c'est une hormone hyperglycémiante.

    Le glucagon agit en stimulant la glycogénolyse => augmentation de la libération du glucose dans le sang.
    Remarque : Le corps possède d’autres hormones hyperglycémiantes comme l’adrénaline, le cortisol…


    E) Insuline et glucagon sont des hormones antagonistes

    Lorsque la glycémie est aux alentours de 1 g.L-1, les sécrétions d’insuline et de glucagon sont basses : c’est ce qu’on appelle des sécrétions basales.

    Si la glycémie augmente, le taux d’insuline augmente, le taux de glucagon diminue, le rapport insuline/glucagon devient très important, et du glucose est mis en réserve.

    Si la glycémie diminue, c’est l’inverse.

    Le message n’est pas l’hormone (c’est le messager) mais la concentration de l'hormone dans le sang : le message hormonal est donc codé en amplitude.
    Les hormones sont transportées dans le sang et n'agissent que sur certaines cellules de l'organisme, ce sont les cellules cibles. Ces cellules disposent de récepteurs aux hormones, situés sur leur membrane plasmique. Dans le foie par exemple, la liaison entre l'hormone et son récepteur active les enzymes qui vont catalyser la synthèse (insuline) ou la dégradation (glucagon) du glycogène, entraînant ainsi le stockage ou la libération du glucose.

    Une hormone est donc une molécule secrétée à faible concentration dans le milieu intérieur par une glande endocrine, déversée dans le sang et qui se fixe sur des récepteurs spécifiques de ses cellules cibles dont elle modifie l’activité selon sa concentration.






    IV. La glycémie : un système autorégulé

    L'homéostasie est la capacité que peut avoir un système à conserver son équilibre de fonctionnement en dépit de contraintes extérieures.

    Ici, le milieu intérieur (sang + lymphe) doit garder sa glycémie constante (à environ 1 g.L-1) en dépit des périodes de repas impliquant un apport rapide et massif de glucose et des périodes de jeûne durant lesquels il n'y a plus d'apport extérieur de glucose alors que l'organisme en consomme. C'est la valeur de consigne.

    La glycémie est autorégulée : c’est sa propre variation qui déclenche les mécanismes la ramenant à sa valeur de référence. Cette régulation peut être modélisée par un schéma :
    - le système réglé : la glycémie, à 1 g.L-1.
    - un système réglant, qui se met en fonctionnement après toute variation du système réglé. Ce système inclut des capteurs de glycémie (îlots de Langerhans => cellules α et β), des organes effecteurs qui obéissent aux messages hormonaux de l'insuline et du glucagon  qui vont ramener la glycémie à sa valeur de référence.


    La glycémie, un système autorégulé
    Schéma récapitulatif : la glycémie, un système autorégulé



    Conclusion

    Chez une personne en bonne santé, la glycémie est toujours comprise entre 0.8 et 1.2 g.L-1 dans le plasma sanguin. C'est l'homéostasie glycémique.

    Le foie est capable de synthétiser du glycogène à partir du glucose. Le glycogène est une grosse molécule permettant de stocker le glucose.

    La glycémie est un système autorégulé :
    - une augmentation de la glycémie est détectée par des capteurs  des cellules β situées dans les ilots de Langerhans dans le pancréas et entraîne la sécrétion de l'insuline par ces cellules β. L'insuline est transportée dans le sang et agit sur les organes effecteurs (foie, muscles, tissus adipeux) pour augmenter le stockage du glucose, et en inhiber la libération.
    - une diminution de la glycémie est détectée par des capteurs  des cellules α situées dans les ilots de Langerhans dans le pancréas et entraîne la sécrétion du glucagon par ces cellules α. Le glucagon est transporté dans le sang et agit sur les organes effecteurs (foie, muscles, tissus adipeux) pour augmenter la libération du glucose, et en inhiber le stockage.

    Ces mécanismes permettent de maintenir la glycémie à une valeur comprise entre 0.8 et 1.2 g.L-1.



     

    http://www.svt-biologie-premiere.bacdefrancais.net/regulation-glycemie.php

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  • Le glucose est une molécule essentielle pour le fonctionnement cellulaire car elle est la principale source d'énergie. Fournie par l'alimentation, elle pénètre dans l'organisme au niveau de l'intestin et est distribué dans tout l'organisme grâce au sang. La concentration de glucose dans le sang (la glycémie), chez une personne en bonne santé, est toujours comprise entre 0.8 et 1.2 g.L-1 dans le plasma sanguin. C’est ce qu’on appelle une constante physiologique (physiologique : études des fonctionnements des organes).



    I. La glycémie est une variable régulée

    La glycémie (= concentration de glucose dans le sang) est sans cesse remise en question au cours d’une journée, mais est aux toujours comprise entre 0.8 et 1.2 g.L-1 dans le plasma sanguin, c'est l'homéostasie glycémique.

    A) Après un repas, la glycémie augmente transitoirement

    Après les repas chez une personne en bonne santé, le glucose provenant de la digestion des glucides de l'alimentation traverse les parois de l’intestin avec les autres nutriments et passe dans le sang (au niveau de villosités intestinales).

    Pourtant la glycémie augmente très peu (quelques dixièmes) et elle revient très vite à environ 1 g.L-1, ce qui montre que le glucose en excès est retiré très vite du sang.

    Glycémie au cours d'une journée chez  une personne en bonne santé
    Glycémie au cours d'une journée chez une personne en bonne santé

    B) Entre les repas, la glycémie baisse très peu

    Le glucose est puisé dans le sang par toutes les cellules de l’organisme et est utilisé comme source d’énergie (c’est la respiration cellulaire).

    Glucose + O2 =========> CO2 + H2O + énergie
    C6H12O6 + 6 O2 ============> 6 CO2 + 6 H2O + énergie

    L'organisme utilise environ 10 à 15 g de glucose par heure s'il est au repos complet, et beaucoup plus s’il fait une activité.

    Le glucose du sang est donc sans cesse utilisé par les cellules qui l'utilisent comme principale source d'énergie (les cellules nerveuses et les hématies utilisent exclusivement du glucose en source d'énergie), pourtant la quantité de glucose ne diminue que très légèrement après les apports des repas. Le sang est donc sans cesse réalimenté en glucose.

    Même après une nuit de jeûne, la glycémie ne diminue que jusqu’à 0,8 g.L-1, ce qui prouve sa constance.


    C) Une hypoglycémie ou une hyperglycémie ont de graves conséquences

    Hypoglycémie : glycémie inférieure à la normale

    L’organisme met tout en œuvre pour éviter l’hypoglycémie, qui peut causer des dommages irréversibles au cerveau.
    En dessous de 0.6 g.L-1, le manque de glucose pour les cellules nerveuses entraîne des troubles divers : tremblements, sueur, pâleur...)
    En dessous de 0.5 g.L-1, le manque de glucose pour les cellules nerveuses entraîne des convulsions, un coma, lésions cérébrales puis la mort si la situation dure trop longtemps.

    Hyperglycémie : glycémie supérieure à la normale

    L’hyperglycémie est dangereuse à long terme : elle cause des troubles vasculaires (durcissement des vaisseaux sanguins), des troubles rénaux, oculaires… caractéristiques d’un diabète.

    Le maintien d'une glycémie entre 0.8 et 1.2 g.L-1 dans le plasma sanguin est donc une nécessité vitale pour l'organisme. Le maintien de cette glycémie met en jeu des mécanismes de régulation.

     

    II. Le foie est le principal organe agissant directement sur la glycémie

    A) Le rôle fondamental du foie dans la glycémie

    Appareil digestif
    Rappel : l'appareil digestif de l'homme

    Les expériences de Claude Bernard, notamment celle dite du "foie lavé" (1855) ont permis de préciser le rôle du foie.  Claude Bernard démontré que le foie est capable de libérer du glucose dans l'organisme.
    Le foie est également capable de produire du glucose à partir de molécules de nature différente (comme des acides gras ou des acides aminés).

    Grâce à l'administration de glucose radioactif, il est possible de suivre le devenir du glucose dans l'organisme. Une partie est directement consommée par les cellules, mais une autre partie est stockée dans le foie.


    B) Après un repas, le foie met du glucose en réserve

    Les vaisseaux sanguins irriguant les intestins (veine porte-hépatique) se dirigent ensuite vers le foie avant d’aller vers le cœur. Après un repas, le glucose passé dans le sang au niveau de l'intestin est en excès dans les vaisseaux sanguins au niveau de l'intestin, mais va être prélevé par le foie et polymérisé en glycogène grâce  des enzymes : c’est le processus de glycogénogenèse (polymérisation du glucose en glycogène, une macromolécule ayant une structure différente de celle de l’amidon).

    n glucose == (enzyme : glucokinase) ==> n glucose-phosphate == (enzyme : glycogène synthétase) ==> glycogène

    Le glycogène est ce qu’on appelle une macromolécule de réserve (de la famille des glucides), que l’on trouve sous forme de pelote (petits grains) dans le cytoplasme des cellules hépatiques. Au maximum, le foie contient environ 100 g de glycogène.

    D’autres tissus peuvent aussi faire des réserves de glucose :
    - les tissus musculaires : sous-forme de glycogène,
    - les tissus adipeux (graisse) : sous forme de triglycérides (lipides).


    Remarque : Chez l’homme (contrairement à chez la souris), le glucose est transformé par le foie en triglycérides, qui seront ensuite stockés dans des cellules adipeuses (les adipocytes) : c’est ce qu’on appelle la lipogenèse.


    C) Le foie apporte du glucose au sang lorsque la glycémie baisse

    Entre les prises alimentaires lorsque la glycémie diminue, le foie hydrolyse petit à petit ses réserves de glycogène pour les transformer en glucose grâce  des enzymes, et libère ainsi du glucose dans le sang qui va soutenir la glycémie : c’est ce qu’on appelle la glycogénolyse.

    glycogène == (enzyme : glycogène phosphorylase) ==> n glucose == (enzyme : glucose phosphatase) ==> n glucose-phosphate
    Les muscles aussi effectuent la glycogénolyse, mais il garde le glucose formé pour leur usage propre, ce qui permet d’économiser le glucose du sang.

     Les cellules adipeuses peuvent aussi hydrolyser leurs triglycérides : c’est ce qu’on appelle la lipolyse.

    triglycéride + eau ===== (enzyme) =====> glycérol + 3 acides gras (A.G.)

    Les triglycérides ne peuvent pas se retransformer en glucose, mais certains organes, comme le cœur ou les reins, sont capables d’utiliser les A.G. comme nutriments énergétiques à la place du glucose (en cas d’hypoglycémie), ce qui permettra d’économiser le glucose pour le cerveau.

    En cas de jeûne extrême, le foie est capable, par l’intermédiaire d’enzymes, de transformer d’autres nutriments en glucose (glycérol ou protéines) : c’est ce qu’on appelle la néoglucogenèse.

    Bilan : Seul le foie est capable de sécréter du glucose dans le sang.


    Synthèse et dégradation du glycogène dans les cellules hépatiques
    Synthèse et dégradation du glycogène dans les cellules hépatiques

     

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  • Important. En cas de sciatique, il est préférable de rester actif, de façon modérée. Autrefois, il était recommandé de garder le lit. De nos jours, on sait que cela n’apporte aucun bienfait thérapeutique et qu’en demeurant actif, on favorise la guérison (voir « Activités physiques » ci-dessous). Cela dit, si la douleur est importante au point de devoir se reposer au lit, c’est bien de le faire, mais pas plus de 48 heures. Si la douleur n’est pas soulagée par le repos ou est insupportable, il vaut mieux consulter un médecin de nouveau.

    La névralgie sciatique se soigne habituellement bien en l’espace de quelques semaines. Lorsque la névralgie est causée par une maladie spécifique, le rétablissement ou le contrôle par des médicaments entraînent généralement la disparition des symptômes.

    Chez les femmes enceintes, la sciatique tend à disparaître après l’accouchement.

    Médicaments

    Divers médicaments peuvent être utilisés pour soulager la douleur. Le premier conseillé est l’acétaminophène ou paracétamol (Tylénol®).

    Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) disponibles en vente libre possèdent aussi un effet antidouleur, en plus d’être anti-inflammatoires (par exemple, l’ibuprofène (Advil®, Motrin®) et l’acide acétylsalicylique (Aspirine®)). Cependant, ils ne sont pas plus efficaces que l’acétaminophène pour soulager les symptômes, selon les études. D’ailleurs, leur utilité en cas de sciatique est mise en doute. En effet, la plupart du temps, l’inflammation n’est pas en cause. Cela dit, si un dosage adéquat d’acétaminophène ne soulage pas efficacement les douleurs, on peut opter pour des anti-inflammatoires non stéroïdiens et observer si le résultat est meilleur. S’informer des précautions et des contre-indications.

    Si la douleur résiste à ces médicaments, des relaxants musculaires, des anti-inflammatoires non stéroïdiens à plus fortes doses ou des narcotiques prescrits par le médecin peuvent être employés.

    On peut aussi avoir recours à des injections locales d’un mélange d’analgésiques et de corticostéroïdes. Il faut savoir que ces traitements offrent un soulagement à court terme, mais pas de bénéfice à long terme.

    Quelques conseils pratiques

    - Les positions les plus confortables pour dormir seraient sur le côté, avec un oreiller entre les genoux et sous la tête. On peut aussi s’allonger sur le dos, avec les genoux ainsi que la tête et les épaules légèrement surélevés par des oreillers.

    - Au cours des 48 premières heures, appliquer du froid sur la région douloureuse peut atténuer la douleur. Pour ce faire, utiliser un sac de glace enveloppé dans une serviette. Apposer sur la région douloureuse durant 10 à 12 minutes. Répéter l’application toutes les 2 heures ou au besoin.

    - Par la suite, la chaleur peut être bénéfique. Elle aide à relaxer les muscles endoloris. Prendre un bain d’eau chaude est l’idéal. Sinon, appliquer plusieurs fois par jour une source de chaleur (une serviette chaude et humide ou un coussin chauffant).

    Remarque. Les applications de chaleur et de froid sur des muscles endoloris sont utilisées depuis longtemps. Or, des études récentes mettent en doute leur réelle utilité à soulager les douleurs lombaires4. On dispose de plus de preuves pour soutenir le recours à la chaleur qu’au froid.

    Activités physiques

    Il est préférable de ne pas cesser les activités habituelles plus de 24 heures à 48 heures. Les études démontrent que les personnes qui demeurent actives récupèrent plus rapidement1. Rester actif aide à relâcher les tensions dans les muscles et préserve la masse musculaire. Si la douleur est importante, se reposer au lit durant 1 journée ou 2 est acceptable. Cependant, il faut reprendre des activités douces le plus rapidement possible, dès que la douleur devient tolérable, car cela favorise la guérison.

    Lorsque la douleur est présente, on conseille de se limiter aux activités physiques du quotidien et à quelques exercices physiques légers, comme la marche. Ces activités douces n’aggraveront pas le problème. Au contraire, elles sont bénéfiques. L’exercice stimule la production d’endorphines, des hormones qui inhibent la transmission de messages de douleur.

    Par la suite, l’intensité des exercices physiques peut progressivement être accrue. La natation, le vélo stationnaire ou d’autres exercices de faible impact sont généralement bénéfiques.

    Physiothérapie

    Si la douleur s’est manifestée durant plus de 4 à 6 semaines, la consultation d’un physiothérapeute est recommandée pour bien récupérer. Divers exercices et étirements pour corriger la posture, renforcer les muscles du dos et améliorer la flexibilité sont proposés. Pour être efficaces, les exercices doivent être pratiqués de façon régulière.

    Les traitements de physiothérapie peuvent aussi comprendre des massages doux, une exposition à la chaleur et de l’électrothérapie.

    • Massages. Les massages effectués sont généralement des manœuvres superficielles, lentes et régulières qui permettent d’assouplir la région douloureuse.
    • Chaleur. Différentes sources sont dirigées vers les muscles endoloris : des rayons infrarouges, des enveloppements chauds, une balnéothérapie chaude (en Europe, la thalassothérapie est souvent intégrée au traitement des sciatiques et des maux de dos).
    • Électrothérapie. Les ultrasons, la stimulation électrique transcutanée ou TENS, les ionisations, le laser, etc. soulagent aussi la douleur en brouillant les messages nerveux.

    Chirurgie

    Si les douleurs persistent plus de 3 mois malgré les traitements prodigués, la chirurgie peut être envisagée. Si la sciatique est reliée à une hernie discale, il faut savoir qu’une chirurgie est nécessaire dans moins de 5 % des cas. La chirurgie permettra d’enlever la pression qu’exerce le disque vertébral sur le nerf sciatique.

    Sciatique (névralgie) - L’opinion de notre médecin

    Dans le cadre de sa démarche de qualité, Passeportsanté.net vous propose de découvrir l’opinion d’un professionnel de la santé. Le Dr Dominic Larose, urgentologue, vous donne son avis sur la sciatique :

     

    J’ai évalué dans ma carrière plusieurs patients ayant des maux de dos et une sciatique. Après l’évaluation, habituellement sans examen de radiographie, je leur annonce qu’il n’y a rien de bien spécial à faire et que tout va rentrer dans l’ordre avec le temps.

    Beaucoup me regardent alors comme si j’avais perdu la tête. Difficile de croire que cette douleur intense va disparaître toute seule! En plus, qu’en est-il de cette recommandation d’éviter de se reposer trop longtemps?

    Comme pour bien d’autres problèmes de santé, les pratiques médicales changent. Ce que l’on croyait vrai il y a quelques années ne l'est plus nécessairement. Par exemple, on sait maintenant que le repos prolongé au lit est néfaste et qu'il est inutile d'avoir recours trop rapidement à la chirurgie. Aussi, l'utilité des applications de froid et des médicaments anti-inflammatoires est remise en question. Le corps humain a une grande capacité d’autoguérison et, dans la grande majorité des cas, les hernies discales se résorbent avec le temps.

    Le rôle du médecin est de procéder à une bonne évaluation pour éliminer les rares causes graves du mal de dos avec sciatique. Par la suite, avec compassion, on recommande la patience, une analgésie appropriée et un rendez-vous de suivi quelques semaines plus tard.

     

    Dr Dominic Larose, M.D.

     

    Révision médicale (décembre 2010) : Dr Dominic Larose, MCMFC (MU), ABEM

    http://www.passeportsante.net/fr/Maux/Problemes/Fiche.aspx?doc=sciatique-pm-l-opinion-de-notre-medecin

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  • La névralgie sciatique, communément appelée sciatique, est une douleur vive ressentie le long d’un des 2 nerfs sciatiques. Situés à l’arrière de chacune des jambes, ce sont les nerfs les plus volumineux de l’organisme (voir schéma). Ils rejoignent la colonne vertébrale au bas du dos, à la hauteur des vertèbres lombaires et sacrées (tout juste au-dessus du coccyx).

    La douleur atteint principalement la fesse et la cuisse, et s’étend souvent jusqu’au pied. Le plus souvent, la douleur ne touche qu’un seul côté du corps.

    Sciatique, lombalgie ou hernie discale?

    En cas de lombalgie, de « tour de rein » ou de « lombago », la douleur est habituellement localisée au bas du dos et aux fesses. Elle est d’intensité variable et peut limiter ou non les mouvements.

    En cas de sciatique, la douleur est généralement ressentie d’un seul côté du corps, dans une fesse et tout le long d’une jambe jusqu’au pied; parfois aussi au bas du dos.

    La hernie discale est une saillie anormale d’une partie d’un disque intervertébral de la colonne vertébrale. C’est l’une des principales causes de lombalgie ou de sciatique.

    Causes

    La sciatique n’est pas une maladie en soi. Elle est le signe que le nerf sciatique est irrité. La majorité des cas sont attribuables à une hernie discale, qui vient comprimer l’une ou l’autre des 5 racines du nerf sciatique. Les symptômes varient légèrement, selon la racine atteinte. (La racine est la partie du nerf qui rejoint la moelle épinière à l’intérieur de la colonne vertébrale.)

    La sciatique peut aussi être attribuable à l’un ou l’autre des facteurs suivants.

    • Canal lombaire étroit (sténose du canal vertébral). Un rétrécissement du canal (dans lequel sont insérés les nerfs) peut entraîner une compression des racines nerveuses dans la région des vertèbres lombaires, et une sciatique. Cela survient essentiellement chez des personnes âgées.
    • Syndrome du piriforme. Il est causé par l’inflammation d’un muscle du bassin appelé muscle piriforme (il a la forme d’une poire) ou pyramidal. Si ce muscle est contracté et enflé, il peut exercer une pression sur le nerf sciatique et l’irriter. Les athlètes et les personnes qui s’entraînent de façon inadéquate en sont plus sujets.
    • Syndrome facettaire. Ce syndrome prend origine dans les facettes articulaires, de minces articulations situées au haut et au bas de chaque vertèbre (à ne pas confondre avec les disques intervertébraux, une autre structure qui permet l’articulation des vertèbres). Une mauvaise posture ou un faux mouvement peut créer un léger désalignement de ces facettes. Des douleurs au dos et parfois une sciatique peuvent s’ensuivre.
    • Traumatisme. Une chute, un accident de voiture ou toute autre situation qui entraîne un coup au dos peut causer un dommage aux racines nerveuses.
    • Autres causes. De l’arthrose ou des métastases qui feraient pression sur le nerf sciatique peuvent causer des maux de dos et, plus rarement, une sciatique. Ces deux situations surviennent surtout chez des personnes âgées.

    Évolution

    Chez la majorité des personnes souffrant de névralgie sciatique, les symptômes se résorbent à l’intérieur de 4 semaines. Cependant, elle tend souvent à réapparaître si rien n’est fait pour la prévenir. La sciatique peut aussi être associée à un problème de lombalgie chronique.

    Quand consulter?

    Lorsque des symptômes s’apparentant à ceux d’une sciatique se déclarent, il est préférable de consulter un médecin pour obtenir un diagnostic précis.

    S’il s’agit d’une sciatique et que les traitements ne parviennent pas à soulager la douleur ou que celle-ci s’amplifie, consultez un médecin de nouveau.

    Consultez un médecin en urgence si :

    • la douleur au dos est intense au point d’être difficilement supportable;
    • les symptômes de sciatique s’accompagnent d’incontinence urinaire ou fécale (ou au contraire, de rétention), d’impuissance, de perte de sensibilité dans la région du périnée et à l'intérieur des cuisses ou d’une difficulté à se tenir debout ou à monter un escalier;
    • en plus des symptômes de sciatique, une perte de poids rapide et inexpliquée survient

    Symptômes

    • Une douleur intense déclenchée dans le bas du dos ou une fesse, qui irradie vers la cuisse, le mollet et le pied. La douleur peut survenir telle une décharge électrique, ou être légère, mais constante. Elle est habituellement accentuée en position assise, à la toux et à l’effort, et soulagée en position couchée.
    • Des fourmillements, un engourdissement et une faiblesse musculaire dans certaines zones de la jambe et du pied atteints

    Personnes à risque

    • Les personnes atteintes d’arthrose ou de certaines formes d’arthrite.
    • Les femmes enceintes. Le poids du ventre, combiné à une sécrétion accrue d’une hormone qui assouplit les tissus, et à l’utérus qui peut faire compression sur le nerf sciatique, peut être à l’origine d’une sciatique.

    Facteurs de risque

     
    • Pratiquer un sport ou un travail nécessitant de fréquemment lever de lourdes charges, de se courber ou de faire des torsions du tronc.
    • Rester plusieurs heures d’affilée en position assise.
    • Faire peu d’activité physique.
    • Avoir un excès de poids.
    • Avoir une mauvaise posture.
    • Avoir des muscles abdominaux faibles.

    Mesures préventives de base

     

    • Faire régulièrement de l’exercice physique permet d’entretenir la souplesse et la force musculaire du dos et de l’abdomen. Les exercices doux, symétriques et faisant appel à des étirements sont à privilégier. Notez que la marche ou la natation sont excellentes pour renforcer la musculature du bas du dos. Pour la pratique du vélo, s’assurer que le siège et le guidon sont convenablement ajustés.
    • Toujours faire quelques exercices d’échauffement avant de pratiquer une activité physique exigeante.
    • Rester conscient de sa posture le plus souvent possible : dos bien droit, regard droit, épaules vers l’arrière.
    • Si l'on doit rester longtemps en position debout, se servir d'un tabouret bas sur lequel on posera les pieds à tour de rôle, en alternant toutes les 5 à 10 minutes.
    • Si l'on doit rester assis durant de longues heures, s’accorder des périodes de repos pour se dégourdir et s’étirer, et changer de position. S’assurer d’avoir une chaise qui soutient bien le bas du dos.
    • Pour soulever un objet lourd, ne pas incliner le torse vers l'avant et éviter les mouvements de torsion. S’accroupir en fléchissant les genoux tout en maintenant le dos bien droit, et se relever en tenant l'objet près du corps.
    • Pour attraper quelque chose qui est derrière soi, ne pas faire de mouvements de torsion du tronc. Pivoter plutôt sur les pieds pour se retourner.
    • Privilégier les sacs à dos aux sacs à main, et utiliser les deux épaules pour porter le sac à dos.
    • Pour une bonne position durant la nuit, choisir un matelas confortable et un oreiller qui ne crée pas un angle trop important au cou.

     

     

     

    http://www.passeportsante.net/fr/Maux/Problemes/Fiche.aspx?doc=sciatique-pm-traitements-medicaux-de-la-sciatique

     

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  • Les traitements du diabète de type 2 (ou type 1) se composent d'un ensemble de soins dont certains s'appliquent dès le début de la maladie, et d'autres en fonction de son évolution et de l'âge du patient. Il n'y a pas un traitement unique antidiabète ou contre le diabète, mais un ensemble de mesures qui compose les traitements antidiabétiques.

    Au sommaire des traitements sur le diabète

    Ces soins se composent à la fois de mesures hygiéno-diététiques et médicales. Ils allient l'action des soignants, destraitements médicamenteux et du patient lui-même dans la prise en charge du diabète.

     

    La personne diabétique joue un rôle central dans le dispositif de soin à travers des pratiques et des habitudes qui l'aident à bien vivre le diabète et à prévenir les complications.

    La pompe à insuline, une nouvelle arme dans l’arsenal thérapeutique du diabète de type 2

    La pompe à insuline est un traitement validé pour le DT1 lorsque l’équilibre glycémique reste instable et/ou l’hémoglobine glyquée élevée malgré une insulinothérapie intensive. L’intérêt d’un traitement par pompe à insuline dans le DT2 est moins connu et la pompe peu utilisée.

    Le Professeur Yves Reznik reprend les résultats de l’essai OPT2MISE sur l’intérêt du traitement par pompe du DT2 chez la personne diabétique de type 2.

    Situation antérieure à l’essai opt2mise

    Les stratégies européennes et américaines pour le traitement du diabète de type 2 n’intègrent pas l’utilisation de la pompe à insuline. Elle est cependant utilisée dans le traitement du diabète de type 2 dans certains pays européens où son remboursement est pris en charge par les pouvoirs publics. Son utilisation reste le plus souvent limitée à des situations d’équilibre glycémiques précaires avec insulino résistance extrême.


    Avant l’essai OPT2MISE, il existait des arguments intéressants en faveur d’une utilisation plus large souvent pour des patients présentant une obésité morbide, un syndrome métabolique et une insulino résistance sévère. Cependant, jusqu’en 2014, le critère rationnel de l’utilisation de la pompe restait fragile, reposant sur un nombre restreint d’études aux résultats discordants. Celles-ci souffraient de petits effectifs numériques et n’utilisaient pas systématiquement les analogues de l’insuline lents et rapides comme comparateur.

    L’essai opt2mise

    L’essai multicentrique international OPT2MISE publié dans le journal Lancet veut répondre à ces questions :

    • Les avantages de la pompe sont-ils supérieurs aux bénéfices traitement par multi-injections ?
    • Dans quelles indications ?
    • Chez quel type de patient ?

    L’étude inclut dans une phase d’optimisation de 8 semaines 495 patients traités par un schéma basal bolus. 168 patients sous pompe et 163 patients sous multi-injections ont participé à la première phase de l’étude. Après 6 mois, l’HbA1c avait baissé de 1,1% sous pompe contre 0,4% sous multi-injections. Au final, 55% des patients ont atteint l’objectif d’une HbA1c <8% sous pompe contre 28% en multi-injections.


    « Il a été établi que l’avantage de la pompe était particulièrement marqué lorsque l’HbA1c initiale était > 8,5% alors qu’il s’avérait modeste et non significatif lorsque l’HbA1c initiale était <8,5% ».

    Démonstration apportée par l’essai

    « OPT2MISE démontre qu’une utilisation ciblée de la pompe permet d’améliorer le contrôle glycémique chez les patients obèses insulinorésistants en échec d’une insulinothérapie basal/bolus intensifiée, positionnant la pompe comme un recours efficace dans l’arsenal thérapeutique du DT2 ».

    Qu’en est-il de l’efficacité au long cours du traitement par pompe ?

    La pompe apparaît comme un traitement efficace et sûr pour les contrôles de l’hyperglycémie, les études d’observation suggérant une durabilité de son action sur l’équilibre glycémique.

    Conclusion

    « L’étude OPT2MISE a permis de préciser la typologie du patient bon répondeur à la pompe : il s’agit d’un patient en surpoids ou obèse, dont l’hémoglobine glyquée reste >8% malgré de fortes doses d’insuline ».

    Source : La pompe à insuline Une nouvelle arme dans l’arsenal thérapeutique in Diabète & obésité novembre 2014 vol.9, numéro 83, p. 250 à 252.


    Le point de vue de la Fédération Française des Diabétiques
    On connaît la complexité de la prise en charge des personnes diabétiques de type 2. Leur maladie, à évolution lente, nécessite des stratégies médicamenteuses variées en fonction des cas et pour certains l’insulinothérapie seule ou combinée est une réponse à leurs besoins. L’insulinothérapie par pompe apporte donc une réponse positive à certains d’entre eux. Cela passe bien entendu par une décision partagée avec le spécialiste et l’obligation de suivre un programme d’éducation thérapeutique et d’accompagnement.

    Pour la Fédération Française des diabétiques, toute stratégie qui améliore la qualité de vie des patients doit être proposée. La pompe fait partie de ces avancées technologiques qui permettent aux personnes atteintes de diabète de type 2 d’améliorer leurs conditions de vie.  
     
    http://www.afd.asso.fr/diabetique/traitement?
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  • Actifry, la friteuse qui fait des frites sans huile (ou presque!)

    Ecrit par  |
     10/12/20140 Commentaire

    Les frites, tout le monde adore ça, Docteur BonneBouffe en est la preuve! 

    Délicieuses, croustillantes, savoureuses, pourtant les professionnels de la santé les recommandent uniquement occasionnellement du fait de leur apport calorique et leur richesse en lipides (les frites sont grasses, très grasses…) qui les rendent lourdes, difficiles à digérer mais surtout mauvaises pour la santé.

    Mais, bonne nouvelle, l’entreprise française d’électroménager Seb a lancé Actifry, une friteuse permettant de cuisiner des frites avec une seule cuillère d’huile! Une promesse irréelle qui est pourtant bien réalité! Docteur BonneBouffe a mené l’enquête pour vous en testant la toute nouvelle friteuse Seb Actifry Express XL!

    ACTIFRY, LA FRITEUSE QUI FAIT DES FRITES SANS HUILE (OU PRESQUE!)

    Une friteuse qui veut du bien à notre ligne et à notre santé?

    Ça existe et ça s’appelle Actifry! Lancée par l’entreprise Seb, la friteuse Actifry vous permet de faire des frites avec une seule cuillère d’huile!

    Grâce à son système d’air chaud pulsé, la friteuse promet une cuisson parfaite des aliments avec seulement une cuillerée d’huile, et en peu de temps (entre 30 et 40 minutes selon l’épaisseur des frites pour des frites maison; environ 20-25 minutes pour des frites congelées). La friteuse offre ainsi une alimentation gourmandemais saine puisque vos frites ou potatoes ne contiennent qu’une cuillère d’huile (soit 3% de matières grasses pour 1,5 kilos de frites).

    Actifry express xl, la friteuse qui fait des frites sans huile (ou presque!)Crédits photo: Seb.fr
     

    TEST DE LA FRITEUSE ACTIFRY EXPRESS XL:

    Vous n’y croyez toujours pas? DocteurBonneBouffe a testé pour vous la dernière version de la machine, l’Actifry Express XL – beaucoup plus puissante que les autres versions puisqu’elle permet de cuire en moins de 30 minutes jusqu’à 1,5 kg de frites! Voici la « bête »:

    Test Actifry Express XL Friteuse Seb Test Actifry Express XL Friteuse Seb Crédits photo: DocteurBonneBouffe.com
     

    L’AVIS DE DOCTEURBONNEBOUFFE.COM

    Manger des frites est-il compatible avec la ligne et la santé? Après le test de l’Actifry Express XL, la réponse est oui! La friteuse permet effectivement une cuisine diététique, avec très peu de matières grasses, ce qui nous donne droit aux frites-sans-culpabilité!

    Les frites sont légères, bonnes et nettement moins grasses qu’après cuisson en friteuse classique. La cuisson est homogène grâce au plateau tournant: aucun besoin de remuer les frites, la machine le fait pour vous ce qui vous permet de vaquer à d’autres occupations pendant la cuisson!

    Côté croustillant, certes on ne retrouve pas le même croustillant que pour les frites habituelles mais, chose surprenante, on sent « vraiment » le goût de la pomme de terre en comparaison avec les frites gorgées d’huile. Le coeur de la frite est, en effet, plus onctueux, moelleux ce qui lui confère des saveurs particulières.

    Test Actifry Express XL Friteuse Seb  DocteurBonneBouffe.com Tests produits consommateursTest Actifry Express XL Friteuse Seb

    LES AVANTAGES DE LA FRITEUSE ACTIFRY

    Il est important de mentionner que l’utilisation de la friteuse Actifry permet de faire des économies notables en huile de friture. De plus, la cuisson des frites ne dégage aucune odeur désagréable, comme c’est le cas pour les friteuses classiques. Enfin, dernier avantage (et pas des moindres), le nettoyage de la machine est facile et rapide grâce aux différentes parties de la machine qui se « déclippent ».

    Les seuls bémols dans l’affaire sont le bruit quelque peu fort de la machine et la taille de l’engin. Mais sachez que la machine permet également de cuisiner de nombreuses recettes variées, sucrées, salées, de l’entrée au dessert : viandes, poisson, légumes et même crumble, ce qui permet de rentabiliser rapidement la machine! :-)

    CONSEILS POUR RÉUSSIR SES FRITES ACTIFRY

    La qualité de la pomme de terre utilisée pour cuisiner des frites Actifry est primordiale. C’est en choisissant les bonnes variétés de pommes de terres, comme le présente Seb dans la vidéo ci-dessous, que vous pourrez réussir une cuisson parfaite. De même, il est essentiel de bien sécher les pommes de terre après les avoir coupées et lavées

    http://docteurbonnebouffe.com/test-frites-actifry-express-xl-119/

     

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