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  • Schéma des indications :

    L'éveinage: est proposé lors de l'existence d'une veine saphène interne ou externe avec reflux à l'origine ou sur son trajet et lorsque la veine saphène est dilatée, ce qui est le cas dans la grande majorité des varices. S'il n'existe pas de reflux, il n'y a pas d'indication à opérer.

    Cette technique est également indiquée :
    En cas d'ulcère variqueux sans attendre qu'il soit fermé (l'intervention est alors conduite sous antibiotiques). Il cicatrise alors rapidement, avec à l'aide éventuelle de greffe de peau (réalisée sous anesthésie locale pure).
    En cas d'eczéma variqueux la suppression de l'affection causale, c'est à dire des varices, permet d'améliorer nettement l'affection en cours qui sera ensuite plus accessible aux traitements dermatologiques. Il en va de même pour l'érysipèle dont le traitement commence par la prescription d'antibiotiques spécifiques.
    Devant une hypodermite sclérosante, et s'il existe un terrain variqueux il faudra envisager une intervention, en sachant que ce traitement doit être relayé par un phlébologue et les soins seront très longs pour obtenir une stabilisation de la maladie. Le port d'une contention élastique de longue durée devient ici obligatoire, car il s'agit d'une complication grave et évolutive.

    La phlébectomie ambulatoire : Technique réalisée sous anesthésie locale, sur un patient ambulatoire qui marche immédiatement après avoir été opéré, elle consiste à enlever les varices par des micro-incisions d'un millimètre, tous les un à cinq centimètres, grâce un crochet spécial. Elle s'applique aux trajets variqueux collatéraux donc aux branches de la saphène interne ou en complément d'un éveinage classique ou sur des varices qui ont récidivé. Elle ne s'adresse donc qu'aux varices qui ne dépendent pas du reflux d'une veine saphène encore en place.
    Comme on l'a déjà vu ces phlébectomies sont très souvent associées, à l'acte d'éveinage chirurgical.

    La C.H.I.V.A. (Cure Conservatrice et Hémodynamique de l'insuffisance Veineuse en Ambulatoire). Son objectif est d'empêcher le sang veineux profond de refluer vers le réseau superficiel en réduisant la pression veineuse surtout à l'effort, sans enlever les varices. Les varices n'étant plus remplies, elles doivent s'affaisser et donc devenir moins sensibles et moins visibles. Elle est réalisée par une ligature de la crosse de la saphène interne et par des ligatures étagées des trajets variqueux sous les veines perforantes incontinentes de façon à rétablir le sens normal du retour veineux. Elle se déroule sous anesthésie locale, en ambulatoire. Les principes et les objectifs de ce traitement étaient prometteurs mais les résultats, toujours en cours d'évaluation méritent d'être tempérés et beaucoup ont abandonné cette technique. Le repérage initial par échographie-doppler pour déterminer exactement le site de la ligature, est la clé de voûte de la réussite de cette intervention. Les varices ne s'affaisseront qu'à la marche. Cette technique demande jusqu'à 4 à 5 mois pour être efficace. Son avantage essentiel est d'essayer de préserver la veine saphène interne et de permettre les méthodes classiques en cas d'échec. 

    Le LASER pour symphyser le tronc de la veine saphène et autres traitements apparentés (radiofréquence) :Ce sont actuellement des voies de recherche intéressantes. Le principe est analogue à celui de la cyothérapie. Les résultats sont en attente de validation à long terme, l'intervention et le matériel à usage unique coûteux, nécessaire à sa réalisation n'est pas remboursé par les organisme sociaux.

    Cure des récidives de varices . Il faut savoir que toutes les récidives de varices ne sont pas à traiter chirurgicalement. L'écho-doppler reste l'examen fondamental pour dépister les reflux importants et leur niveau: Crosse saphène insuffisamment réséquée (persistance de collatérales), perforantes de cuisse et jambe. Ce sont ces points de "fuite " du sang veineux qui feront l'objet d'une cure chirurgicale. Il faut souligner que l'éveinage déjà réalisé ne peut être refait (les veines ne repoussent pas). Les suites opératoires sont simples. Cependant dans quelques % des cas il existe un retard de cicatrisation de quelques jours au niveau de la plaie de l'aine. Il peut même se produire à ce niveau un écoulement clair (lymphorhée). Il s'agit d'incidents qui généralement guérissent avec de simples pansements.

    En résumé : Les techniques chirurgicales évoluent vers une réalisation sous anesthésie loco-régionale, ou sous anesthésie générale légère avec une hospitalisation de courte durée en ambulatoire : entrée le matin et sortie le soir si les conditions socio-economiques du patient le permettent. Ces différents traitements doivent être conjugués pour traiter la maladie variqueuse qui est évolutive (maladie de la paroi veineuse elle-même). Certes une varice enlevée ne "repousse" jamais, mais certaines imperfections techniques et aussi le génie évolutif de la maladie imposent un suivi phlébologique régulier, soit par scléroses, soit par phlébectomie ambulatoire, pour traiter toute amorce de récidive. Il faut "entretenir" le résultat acquis en postopératoire.

    Comprendre la maladie variqueuse : Connaitre les traitements chirurgicaux Réponses au questions fréquentes
    Physiopathologie Traitements Questions fréquentes
    Préparation cutanée avant intervention Retour au menu général
    L'opération des varices en photos
    et en film.

    Certains schémas animés de ce site sont empruntés à :
    Animations created by LUANET Medios y Sistemas, S.L. (http://www.luanet.com)

     

    http://infopatients.pagesperso-orange.fr/varices_intro.html

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  • Des experts craignent que l'Europe ne retourne à l'époque où les antibiotiques n'existaient pas. Les bactéries deviennent tellement résistantes aux antibiotiques que ceux-ci pourraient devenir obsolètes.

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    Va-t-on revenir au temps où les antibiotiques n'existaient pas ?

    Image d'illustration © Reuters

     

    La bactérie Klebsiella pneumoniae, que l'on retrouve partout en Europe, est de plus en plus résistante aux antibiotiques révèle le rapport "Antimicrobial resistance surveillance in Europe" qui a été publié ce lundi. "Cette augmentation de la résistance des bactéries ne peut être endiguée que si l'on diminue l'usage des antibiotiques à l'échelle européenne" selonMat Goosens de l'Institut Scientifique de Santé Publique qui a participé à ce rapport. La Klebsiella pneumoniae ne rend normalement pas malade, mais provoque des infections chroniques, car elle affaiblit les défenses immunitaires. Il y a peu le problème des bactéries résistantes était cantonné à quelque pays, mais celles-ci sont désormais présentes partout en Europe.

    "8.3 % des patients qui souffrent d'une infection du sang sont infectés par cette variante de la Klebsiella. Un chiffre qui a triplé en trois ans. Or il n'existe plus qu'un traitement basé sur un antibiotique de troisième ligne qui peut avoir un effet. C'est un antibiotique de première génération qui a beaucoup d'effet secondaire. Cependant il arrive souvent que les bactéries soient également résistantes à ce produit. Ce qui fait qu'en réalité plus aucun antibiotique ne fonctionne" précise le rapport.

    La bactérie des hôpitaux, la Staphylococcus aureus résistant à la méticilline (SARM), une variante du staphylocoque doré, et qui ne réagit plus à aucun antibiotique se fait ces derniers des temps de plus en plus rares et c'est une bonne nouvelle. C'est surtout dû à "un meilleur suivi de l'infection" selon Goossens. Cette avancée positive est néanmoins contrebalancée par l'apparition de nouvelles bactéries beaucoup plus dangereuses.

    La bactérie qui inquiète particulièrement les experts est la EPC (entérobactérie productrice de carbapénèmase, soit une bactérie multirésistante) dite de "kiemen" précise De Standaard. On la retrouve dans les intestins et elle peut provoquer une infection du sang, des urines et des voies respiratoires. Elle est dangereuse, car elle sécrète une substance qui paralyse l'effet des antibiotiques. Du coup, plus aucun traitement ne fonctionne. Et le directeur du European Centre for Disease Prevention and Control (ECDC), Marc Sprenger, de prévenir "Nous retournons vers l'ère où les antibiotiques n'existaient pas et où les gens mourraient de leur infection, car il n'existait pas de traitement"

    Agir avant qu'il ne soit trop tard et dans toute l'Europe

    Pour rendre les bactéries moins résistantes aux antibiotiques, il faut impérativement limiter l'usage des antibiotiques, et ce au niveau européen. L'usage abusif des antibiotiques est un fait depuis des décennies et a fait muter les bactéries qui ont développé leur résistance face à ces produits. Les bactéries les plus résistantes se retrouvent dans des lieux où on utilise de nombreux antibiotiques comme les hôpitaux. Les pays les plus touchés par le phénomène sont les pays du sud de l'Europe comme la Grèce et l'Italie. Mais le problème ne doit pas être traité localement. Il doit être pris à bras le corps et dans toute l'Europe, sous peine d'être inutile. "Cela doit être mis en place au niveau européen, car dans le cas contraire les bactéries vont simplement se propager d'un pays à un autre".

    Ces bactéries peuvent difficilement être endiguées, car elles peuvent se retrouver partout : sur les poignées de porte des hôpitaux, sur le sol,... Bien se laver les mains ne suffit pas toujours. C'est pourquoi, toujours selon le rapport, la seule vraie solution est de diminuer l'usage des antibiotiques et de convaincre les médecins de prescrire aussi peu que possible, des traitements à base d'un large spectre d'antibiotiques puisque c'est ces derniers qui développent le plus la résistance des bactéries

     

    http://www.levif.be/actualite/sante/va-t-on-revenir-au-temps-ou-les-antibiotiques-n-existaient-pas/

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  • Dans les veines variqueuses le sang circule mal, lentement ou à contre courant, Il risque de former un caillot qui peut:
    - Rester sur place dans les varices, c'est la phlébite superficielle (périphlébite ou paraphlébite) qui constitue un signal d'alarme et commande un traitement efficace.
    - S'étendre aux veines profondes, c'est la phlébite profonde, complication grave.
    - Migrer vers le coeur ou les poumons, c'est l'embolie pulmonaire. Cet accident, heureusement exceptionnel, peut être favorisé par certaines circonstances, comme l'alitement prolongé voyage en avion ou survenir à la suite d'une intervention chirurgicale. Il vaut mieux donc parfois traiter préventivement les varices.

    Les facteurs prédisposant à la maladie :

    Plusieurs facteurs intriqués sont principalement incriminés:
    - L' hérédité. Son rôle est majeur : 2 varices sur 3 ont une origine familiale (héréditaire).
    - Le sexe : 4 fois sur 5 ce sont des femmes qui souffrent de varices (répartition probablement liée aux facteurs hormonaux). Parmi ces facteurs hormonaux, deux cas particuliers :
    - La prise de la pilule, dont les hormones favorisent le relâchement de la paroi veineuse et la formation de caillots.
    - La grossesse qui s'accompagne d'une inondation hormonale pendant les trois premiers mois, puis une compression des veines les trois derniers mois.
    - L'excès de poids. Élément primordial, le combattre peut-être préventif et curatif.
    - La station debout immobile et le piétinement.
    - La station assise prolongée.
    - L'exposition au soleil, le chauffage par le sol, les bains brûlants.
    Les varices apparues après une phlébite sont d'origine différente et leur traitement est différent, on les appelle des varices secondaires, pour les opposer aux varices précédemment décrites, dites "idiopathiques".

    Traiter:

    L'idéal serait de pouvoir empêcher la dilatation des parois veineuses et de remettre en ordre le fonctionnement des valvules. Malheureusement rien ne permet d'obtenir ce résultat lorsque les varices sont apparentes c'est à dire quand les veines sont dilatées depuis des années. Les traitements de la maladie variqueuse sont multiples et doivent être adaptés à chacun selon le stade évolutif de la maladie et selon le terrain. L'hygiène veineuse est avant tout un mode vie protecteur concernant principalement les personnes ayant une prédisposition aux varices. Il faut éviter dans la mesure du possible tous les facteurs favorisants.
    Les traitements médicaux : sont une force d'appoint appréciable surtout en période sensible, (nécessité de station debout ou piétinement, chaleur etc.). Quatre possibilités sont complémentaires:
    - les soins locaux : les douches froides sur les jambes, les drainages posturaux, manuels ou à l'aide de bottes pneumatiques qui visent à soulager et à résorber l'oedème des jambes (traitement anti-oedème).
    - la contention élastique: par bandes ou bas, qui freinent la dilatation veineuse et diminuent la quantité de sang stagnant dans les membres inférieurs. Les bas à varices sont parfois mal acceptés, difficiles à supporter l'été, mais d'une grande efficacité et ne présentant pas de danger. Les bas ou collant de maintien ont fait des progrès importants sur le plan esthétique et sont disponibles en diverses forces de contention (Ils sont devenus des chaussettes «intelligentes»).
    - Les cures thermales: durent habituellement trois semaines et apportent un bien-être pendant plusieurs mois. Elles sont essentiellement conseillées pour les varices après phlébites.
    - Les médicaments dits "phlébotoniques" (souvent appelés les médicaments pour la circulation). Ils soulagent la maladie en renforçant la paroi des veines. Ils diminuent les sensations de lourdeur, de fatigue, et aident à faire "dégonfler" les jambes. Certes ils sont incapables de faire disparaître les varices mais ils sont un appoint important lors des grosses chaleurs ou après intervention.
    - La sclérose, qui consiste à injecter dans la varice à l'aide d'une aiguille très fine quelques millilitres d'un produit irritant pour la paroi veineuse. Elle est quasi indolore à l'injection, bien supportée, sans effets secondaires. Il se produit une réaction inflammatoire et un spasme de la veine qui s'oblitère. Les incidents sont rares et non dangereux. Parfois se produit un hématome intra variqueux, qu'on évacue par une micro-incision.
    La sclérose est surtout indiquée pour les petites et moyennes dilatations veineuses. La sclérose est donc indiquée:
    - Dans les maladies variqueuses débutantes, sans atteinte importante des veines saphènes.
    - En complément de la chirurgie, où elle va permettre de stabiliser la maladie sur de longues années.
    - Dans le traitement des petites varicosités en toile d'araignée, véritable couperose des jambes, parfois très développée (vascularite ectasiante ).

    vascularite ectasiante

    La micro-sclérose ou le laser, permettent d'obtenir un éclaircissement appréciable de ces petits vaisseaux violacés et paraît bien supérieure à l'électrocoagulation par laser. La sclérose reste un traitement simple, indolore mais délicat et qui doit être pratiqué par un phlébologue ou un angiologue connaissant parfaitement la technique. Si l'hygiène veineuse et les traitements médicaux constituent une thérapeutique de fond indispensable à l'amélioration du terrain veineux, si la sclérose ou le laser permettent de traiter bon nombre de disgrâces veineuses, et de parfaire le traitement chirurgical, celui-ci apparaît comme indispensable pour corriger les troubles de la circulation veineuse de retour (rupture du cercle vicieux).
    La technique chirurgicale doit être adaptée à votre maladie. Il n'existe pas de «recette miracle» ou de «d'intervention passe partout». L 'expérience familiale ou la «vox populi» ne peuvent s'appliquer sans discernement à votre propre cas. Poser la bonne indication thérapeutique, c'est faire la synthèse des divers examens.
    - du phlébologue
    - de l'écho-Doppler
    - du chirurgien.

    Les différents procédés chirurgicaux : 

    Tous suppriment les veines malades, siège des varices, fonctionnant à contresens (le sang descend vers la cheville en refluant au lieu de remonter vers le coeur). Comme nous l'avons déjà dit, les varices sont des veines superficielles dilatées qui ne ramènent quand elles sont saines que 5 % du sang de la jambe. Les veines profondes qui drainent 95% du sang remplacent sans difficultés les veines superficielles malades. Cette «suppléance» s'effectue sans problèmes si les veines profondes sont en bon état, non oblitérées par des caillots (phlébite). C'est pourquoi lors de la première consultation, l'examen clinique et certaines manoeuvres s'assureront de l'intégrité du réseau veineux profond. Le bon état de ces veines profondes sera apprécié par écho-Doppler pour mesurer la vitesse du sang circulant dans les vaisseaux. En cas de phlébite il se produit un ralentissement du flux sanguin.
    L'échographie localise un éventuel caillot, apprécie la perméabilité des veines profondes, mesure la dimension des veines, repère certaines anomalies anatomiques. Enfin l'écho-doppler permet de connaître le sens de la circulation sanguine et donc de parfaitement repérer les veines perforantes incontinentes. Très souvent un repérage préopératoire (cartographie des varices) vous sera proposé.
    Ce n'est qu'en cas de doute persistant que l'on pratiquera une radiographie du réseau veineux (phlébographie). Le traitement chirurgical, quel que soit le procédé, tentera d'être le plus radical possible, c'est à dire de traiter dans le même temps, si cela est possible, l'ensemble des varices même si les deux jambes sont variqueuses.

    La tendance actuelle est de raccourcir l'immobilisation avec le plus grand souci esthétique, Pour cela on réalise un minimum d'incisions cutanées classiques. L'aspect esthétique de l'intervention est complété par des phlébectomies (on ôte les paquets variqueux inesthétiques grâce à des micro-incisions étagées à l'aide d'un crochet spécial). Enfin, quelques séances de scléroses complémentaires à la chirurgie prendront place en fin de traitement.

    Les techniques chirurgicales disponibles :

    L'éveinage classique: C'est le «stripping» , technique qui garde encore une large place, en supprimant les points de reflux, en liant les veines perforantes qui fonctionnent à contre-courant et en enlevant les varices les plus volumineuses. - Une incision dans le pli de l'aine est toujours nécessaire: elle permet de lier la veine saphène interne au niveau de sa crosse (là ou elle s'abouche dans la voie veineuse profonde) et également de lier toutes les veines qui se jettent dans cette crosse, pour supprimer le reflux à l'origine de la dilatation de la voie veineuse superficielle.
    - Une petite incision à la cheville permettra de retrouver la saphène interne, et d'y introduire le strippeur, pour enlever la veine dans sa totalité.
    - La saphène externe si elle est intéressée par le processus variqueux, peut nécessiter un geste chirurgical: résection de sa crosse (derrière le genou) avec ou sans stripping.

    L'éveinage par invagination : Il permet d'enlever la veine dans sa totalité en la retournant en doigt de gant, en l'invaginant dans sa propre lumière, sans agression pour les tissus environnants (cette technique non traumatisante s'oppose au stripping classique qui est un éveinage externe «arrachant» la veine grâce à une tige munie d'une olive dont le diamètre est supérieur à celui de la saphène). Cet éveinage «par invagination» peut se réaliser grâce à plusieurs procédés, dont le cryoéveinage : la veine est "collée" par le froid à une sonde guide puis, invaginée dans sa lumière, et ensuite retirée en totalité.
    Il ne faut pas confondre le cryoéveinage et la cryochirurgie, autrefois largement commenté dans la presse de vulgarisation et qui consiste à "congeler" sur place la veine saphène, cette technique séduisante entraîne 30% de récidives par reperméabilisation du vaisseau, elle a donc été progressivement abandonnée, sauf pour certains vaisseaux de petit calibre (collatérales). La chirurgie par laser ou radiofréquence procède du mêmes principe, en oblitérant la lumière vasculaire. 

    Ces interventions peuvent être menées sous anesthésie générale légère, sous anesthésie péridurale ou rachidienne, sous anesthésie loco-régionale (pour les interventions unilatérales). Le mode d'anesthésie sera choisi en fonction de chaque patient et avec l'avis de l'anesthésiste qui vous examinera avant l'intervention. Une prise de sang effectuée auparavant, un examen cardiologique et un bilan biologique et tous les examens jugés nécessaire par le chirurgien, l'anesthésiste ou le cardiologue compléteront évidemment le bilan préopératoire.

    L'incision au pli de l'aine est toujours indispensable, associée ou non à une deuxième incision au niveau de la cheville. L'incision derrière le genou n'est réalisée que pour les gestes portant sur la saphène externe. Il est rare que des incisions supplémentaires soit réalisées pour lier de grosses perforantes. Lorsqu'elles sont nécessaires, c'est parce que la lumière vasculaire du tronc principal a été oblitérée (thrombose ou sclérose). En présence de varices, marquées au feutre sur le patient avant l'intervention on réalisera des phlébectomies permettant par de minuscules incisions d'enlever avec un crochet adapté les volumineuses branches variqueuses, inaccessibles à la sclérose postopératoire.

    L'intervention dure entre 15 et 40 minutes par jambe, une contention par bandes élastiques étalonnées est installée en salle d'opération gardée 24 heures, elle évite de mettre un drain. Le lendemain de l'intervention, la contention initiale pourra être retirée la nuit et pendant la sieste. Il est conseillé de les conserver de 15 à 30 jours. Cette contention permet de combattre et de prévenir l'oedème des chevilles après l'intervention. En cas d'oedème préexistant à l'opération, la contention pourra être maintenue plus longtemps car cet oedème est long et difficile à faire disparaître lorsqu'il est installé.

    Une hospitalisation ambulatoire est maintenant largement utilisée. Elle réduit les dépenses d'assurance maladie et évite les nuits en hospitalisation qui sont en général peu appréciées et le plus souvent inutiles si l'entourage familial peut assurer une surveillance minimale. Sinon, une hospitalisationde 2 à 3 jours est nécessaire en fonction de l'âge et de l'importance des varices. La mobilisation dans le lit, dont les pieds sont surélevés est indispensable, mais le lever se fera le plus tôt possible. Le traitement anticoagulant n'est jamais prescrit de façon systématique, indiqué seulement au cas par cas, chez les patients avec risque de phlébites ou d'embolies pulmonaires.

    Une convalescence de 3 à 21 jours est recommandée. En région parisienne compte tenu des conditions de transports en commun souvent difficiles il est souvent nécessaire de prolonger d'une semaine cette convalescence.Pendant cette période, une reprise précoce de l'activité physique ne peut remettre en cause la qualité du résultat final. La petite fatigue du début disparaît en quelques jours, les ecchymoses et les hématomes disparaissent en 3 à 6 semaines, leur sensibilité s'atténue en même temps. Parfois des troubles de la sensibilité sont gênants au niveau de la cheville : ils régressent généralement en quelques mois de façon spontanée.

    Le traitement postopératoire Il est variable et peut comporter:
    Un traitement général:
    - La prise d'anti-inflammatoires par la bouche pendant 10 jours environ (sauf en cas d'antécédent d'ulcère de l'estomac).
    - Un traitement phlébotonique à prendre pendant 1 mois également par voie orale
    Un traitement local:
    - Un gel anti-inflammatoire à appliquer plusieurs fois par jour sur les hématomes jusqu'à leur disparition.

    En postopératoire : Vous aurez un rendez-vous avec le chirurgien dans les 2 à 6 semaines après l'intervention. Vous devrez prendre un rendez-vous avec un phlébologue pour le suivi de l'évolution de la maladie variqueuse. La reprise de l'activité physique peut se faire très rapidement, la marche est reprise dès le premier jour postopératoire. Pendant la convalescence une demi-heure à une heure de marche, à votre rythme est conseillée matin et après-midi. L'entraînement sportif peut reprendre progressivement dès la première semaine. La natation peut-être pratiquée dès que la cicatrisation des plaies opératoires est obtenue (10 à 12 jours en moyenne). La pratique de sports, tels que le tennis, le vélo, la course à pied etc. commencera dès le premier mois. Enfin il est important de surveiller son poids, soit pour le maintenir, soit assez souvent pour perdre les kilos qui vous font dépasser votre poids idéal.

    Les complications :

    Elles sont assez rares, mais existent.
    En dehors des complications propres à l'anesthésie (spasme, allergie). les complications les plus fréquentes de cette chirurgie sont:

    - La phlébite : c'est la formation de caillots dans les veines profondes des jambes. Complication qui risque de survenir dans tous les types de chirurgie, elle survient dans environ 1% des cas. Très habituellement il s'agit de phlébites touchant des veines profondes de petit calibre, mais l'extension peut se faire vers les veines de gros calibre. Pour éviter l'extension et la récidive de phlébite, lorsque la phlébite est constituée, un traitement anticoagulant prolongé de 4 à 6 mois est proposé. Dans de très rares cas la phlébite se complique d'embolie pulmonaire, c'est à dire de la migration d'un caillot vers les poumons.

    - L'infection des plaies : Malgré tous les soins pris pour éliminer les germes du site de l'intervention, parfois (autrefois de 3 à 4% des séries, moins de 1% dans notre série) se produit une infection des cicatrices. Très généralement il s'agit d'une complication assez facilement maîtrisable, qui guérit par des soins locaux et l'administration d'antibiotiques en quelques jours ou semaines. Parfois une reprise au bloc opératoire est nécessaire pour nettoyer le foyer infectieux. Très exceptionnellement un écoulement lymphatique se fait par la cicatrice et met quelques semaines à se tarir.

    - La modification de la sensibilité de la face interne des cuisse et de la jambe: Cette complication est également rare et très rarement marquée ou étendue. Elle est due à l'étirement des filets nerveux qui accompagnent le veine saphène et qui subissent l'étirement pendant l'éveinage. Très généralement il s'agit de petites zones cutanées qui ont une perte d'une partie de la sensibilité (sensation de perception à travers du coton). La sensibilité redevient normale en quelques semaines à quelques mois. Très exceptionnellement ce déficit de sensibilité persiste. Parfois cette diminution de la sensibilité s'accompagne de picotements qui eux aussi finissent par disparaître.

    - L'aggravation d'un oedème des jambes préexistant: Dans de très rares cas, l'incision au pli de l'aine modifie la circulation lymphatique et aggrave un oedème lymphatique des jambes préexistant. Pour cette raison l'intervention est déconseillée par le chirurgien aux personnes atteintes de ce type d'oedème.

    D'autres complications très exceptionnelles existent mais leur fréquence est très faible et il faudrait un véritable cours de médecine pour les citer toutes.

     

    http://infopatients.pagesperso-orange.fr/varices_intro.html

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  • La maladie variqueuse

    Docteur Jean VALLA Chirurgien Cardio-vasculaire et Thoracique AIHR/ ACCAAncien Chirurgien des Hôpitaux Universitaires. Membre de la société de Chirurgie Thoracique et cardio-vasculaire de Langue Française.

    INTRODUCTION

    Vous avez choisi de faire traiter vos varices. Un sentiment de disgrâce esthétique, des sensations de lourdeur, des crampes, signent cette maladie veineuse dont souffrent plus de dix millions de personnes en France et qui a des conséquences socio-économiques importantes. Pourtant la moitié des patients hésitent se soigner: Par crainte ou méconnaissance du système circulatoire, à cause de la multiplicité des techniques proposées...

    Peut-être, pour vous aussi, le choix a-t-il été difficile ?

    Le but de cette information est de vous aider :
    - à comprendre votre maladie qui, bien que commune et bénigne, peut devenir inesthétique et invalidante si elle n'est pas soignée à temps.
    - à connaître les causes et les facteurs favorisants ou aggravants des varices, pour essayer de les prévenir.
    - à choisir en fonction de vos varices le meilleur traitement, les différentes techniques étant simplement expliquées avec leurs avantages, leurs limites et leurs indications.
    - à répondre aux questions que vous vous posez.

    Volontairement le jargon technique propre au médecins a été évité.

    Comprendre :

    Les varices sont une des manifestation visible, souvent sensible voire douloureuse, d'une maladie évolutive: la maladie variqueuse. Cette maladie, apanage de l' espèce humaine (les animaux n'ont pas de varices) ne peut être évitée actuellement. Cependant contrôler son évolution est possible. Pour comprendre l'utilité et le sens des traitements proposés, il faut connaître la circulation de retour dans une jambe normale.

    Un peu d'anatomie et de physiologie : Le sang revient au coeur par les veines. Il existe pour cela deux réseaux disincts et communicants au niveau des membres inférieurs :
    - Un réseau veineux profond, axe principal à gros débit, à parois protégées par les muscles qui l'entourent, drainant 95% de la circulation de retour (veines fémorales et poplitées).
    - Un réseau veineux superficiel, axe secondaire à faible débit et aux parois souples. Situé sous la peau, il draine environ 5% à 8% de la circulation de retour. Il est constitué par la veine saphène interne (maintenant appelée grande veine saphène) qui se jette dans la veine fémorale commune (à hauteur de la crosse de la saphène) et par la veine saphène externe (maintenant appelée petite veine saphène) qui s'abouche dans la veine poplité. Entre les deux réseaux existent des veines dites «perforantes» qui relient les veines saphènes aux veines profondes, comme les barreaux d'une échelle relient ses deux montants. Ces veines perforantes fonctionnent normalement en drainant le sang du réseau superficiel (c'est à dire du réseau saphène) vers le réseau profond.

    Les deux réseaux veineux superficiels et profonds drainent le sang du membre inférieur. Une partie du sang issu du réseau superficiel passe dans le réseau profond grâce au jeu normal des valvules Lorsque les valvules sont altérées, le sang peut refluer du réseau profond vers le réseau superficiel


    Chaque système veineux (veines profondes, veines saphènes, veines perforantes) est pourvu de valvules qui s'opposent au reflux du sang conséquence de la pesanteur (surtout en position debout). A cause de ces petits replis implantés face à face dans la veine et jouant le rôle d'une porte à deux battants, la circulation sanguine se fait des veines superficielles vers les veines profondes et le sang remonte des pieds vers le coeur.

    La valvule veineuse, lorsqu'elle fonctionne normalement, s'oppose au reflux sanguin qui tend à faire redescendre le sang vers les pieds. Lorsque la valvule est altérée, l'étanchéité n'est plus assurée et le sang reflue


    L'énergie indispensable à cette circulation veineuse de retour est fournie par le travail musculaire :
    - Pendant la marche: par les muscles de la plante du pied, et du mollet (ce mécanisme est prédominant).
    - Au repos: par les muscles de la paroi veineuse (ce mécanisme est mineur).

    Lors de la contraction musculaire,
    la colonne sanguine progresse de bas en haut,
    chemin normal du retour veineux des membres inférieurs vers le coeur
     


    Les varices : sont une maladie du réseau veineux superficiel, (veines saphènes). Sous l'influence de multiples facteurs encore incomplètement reconnus, les veines superficielles se dilatent, perdent leur élasticité et leur paroi son pouvoir de contraction. Les valvules en "nid de pigeon" s'écartent, leurs bords ne peuvent plus se rejoindre et elles perdent leur fonction de clapet anti-retour. Lors de la station debout, surtout immobile, le sang va redescendre vers les pieds, aggravant par sa pression la dilatation des parois veineuses, créant ainsi les varices et surchargeant le réseau veineux profond. La maladie variqueuse paraît ainsi due à deux phénomènes qui agissent ensemble:
    - la maladie des valvules: une valvule incontinente entraîne un reflux, qui dilate les parois veineuses, et favorise l'altération d'autres valvules sous-jacentes.
    - la maladie de la paroi veineuse : une paroi dilatée (forcée par la pression) écarte les valvules, ce qui entraîne un reflux qui dilate davantage une paroi déjà fragilisée. Le "cercle vicieux" de la maladie variqueuse s'est établi: le sang reflue des veines profondes vers les veines superficielles (veines saphènes), qui se dilatent en varices. Il s'ensuit une surcharge dans tout le réseau superficiel et progressivement toutes ses branches se distendent.
    Les schémas 2 et 3 illustrent ces notions sur le sens du flux sanguin normal et dans la maladie variqueuse. Le reflux du sang vers les pieds entraîne:
    - Lourdeur et des crampes (surtout la nuit) dans les jambes.
    - Élancements, impatiences, fourmillements et sensation de brûlures des deux membres inférieurs.
    - Chevilles gonflées en fin de journées (oedème).
    - Démangeaisons (parfois intenses), pouvant s'accompagner d'un eczéma variqueux.
    - Une pigmentation indélébile localisée principalement au niveau des chevilles: C'est la dermite ocre, véritable tatouage de la peau qu'il faut éviter, car il constitue une séquelle esthétique importante et définitive.
    - Et, lorsque les tissus sont distendus et donc incorrectement irrigués : Apparition d'ulcères variqueux.

    Varices de jambe Ulcère variqueuxentouré d'un halo inflammatoire

     

    http://infopatients.pagesperso-orange.fr/varices_intro.html

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  • L'association Le Petit hérisson veut ouvrir le débat. Elle organise à cette occasion une journée, le 15 novembre, sur le thème de l'école et du projet d'accueil individualisé. 

    "Les parents d'enfant diabétique rencontrent bien souvent des difficultés pour mettre en place un PAI (projet d'accueil individualisé, NDLR) à l'école", constate Christine Soler-Coullomb. Avec trois autres mamans, cette Nîmoise a créé il y a deux ans Le Petit Hérisson. Cette association, qui accompagne les parents d'enfant atteint par un diabète de type 1, organisera, samedi, une journée de débats et de conférences sur les problématiques de la scolarisation (1).

     
     

    Le rôle de l'enseignant

    Un PAI permet à un enfant ou adolescent atteint d'une maladie chronique, d'une intolérance alimentaire ou d'allergie de suivre une scolarité normale. Dans ce cadre défini par les parents et l'établissement, l'enseignant aura un rôle à tenir. Pour un enfant diabétique, il pourra s'agir de contrôler la glycémie par dextro (prélèvement sanguin au bout des doigts) voire de donner un sucre à l'enfant qui connaît un malaise. "Cela pose le problème de la responsabilité, indique Christine Soler-Coullomb, mère d'une fillette diabétique de type 1 âgée de 7 ans. Pour l'enseignant, il y a la peur de mal faire et celle de se retrouver en procès." 

    Journée mondiale : dépistages et conférences

    Le 14 novembre, c’est la Journée mondiale du diabète. Pour l’occasion, associations et établissements de santé se mobilisent. Plusieurs cliniques organiseront des dépistages gratuits.

    Ainsi, jeudi 13 novembre, c’est le cas de la clinique du Pont du Gard, à Remoulins, de 13 h 30 à 17 h 30. Le lendemain, opération à l’identique à l’hôpital privé Les Franciscaines et la Polyclinique Grand Sud, entre 10 heures et 16 heures. Dans tous les cas, le taux de glycémie sera testé et si celui-ci est supérieur à la normale, les personnes seront informées sur les démarches à entreprendre.

    Pour sa part, l’Association des diabétiques du Gard (AFD 30) organisera, samedi 15 novembre, un forum santé du diabète, à la Maison du Département, 3, rue Guillemette, à Nîmes, de 9 heures à 17 heures
    (entrée libre, inscription pour le repas au 06 80 35 63 64 ). Des stands d’information seront tenus par des associations et différents partenaires. Trois conférences : “Régimes et alimentation équilibrée : ne pas confondre”, à 10 heures ; “Nouveautés thérapeutiques dans le diabète”, à 11 heures ; “Se motiver à l’activité physique : pas si simple !” à 14 h 30.

    Dialogue constructif et apaisé

    Elle-même professeur des écoles, Mme Soler-Coullomb regrette le déficit de formation, en matière de secourisme, et d'information. "Dans l'enseignement, on est confronté à de nombreuses pathologies et c'est énorme ce que l'on nous demande de gérer." La solution passe par un dialogue constructif et apaisé entre parents, enseignants et directeurs d'école. Le Petit Hérisson, qui met à disposition sur son site internet des fiches pratiques pour les enseignants, ouvre donc le débat (qui ne se limite pas d'ailleurs à cette seule pathologie).

    Plus généralement, l'association a pour objet de venir en aide aux parents d'enfants diabétiques, souvent déboussolés quand le diagnostic est posé. "Pour ma fille, cela a été très violent. Elle avait 3 ans, elle est tombée dans le coma, témoigne Christine Soler-Coullomb. Ensuite, il a fallu apprendre à gérer la maladie. La prise en charge est lourde pour les parents. Cela convoque les familles à réadapter leur quotidien. Notre association se propose de les aider."

    (1) : de 9 h 30 à 17 h 30, à l'institut de formation aux métiers de la santé,
    3, rue Kléber (informations, inscription, garderie et ateliers  au 06 46 58 79 58 
    ou via www.le-petit-herisson.com). Au programme, ateliers et groupes de parole, témoignages d'enseignants, conférence d'une diabétologue.

     

    http://www.midilibre.fr/2014/11/10/l-enfant-diabetique-et-l-ecueil-de-la-scolarisation,1079110.php

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  • Les associations

    Etre bien entouré et bien conseillé, c’est important. C’est pourquoi, j’ai réuni pour vous les noms des principales associations oeuvrant dans le domaine des allergies et des intolérances (Belgique, France, Luxembourg et Suisse).

    N’hésitez pas à les contacter pour  échanger les bonnes pratiques, obtenir des infos, des conseils, ou tout simplement un soutien.

    @ssociations & bonnes @dresses du WEB

    Association pour la Prévention des Allergies (Be & Lux)

    • ==> centre de documentation, publications, bulletin trimestriel…
    • Rue de la Concorde, 56 – 1050 Bruxelles (Belgique)
    • Tél : (+32) (0)2/511.67.61 - fpa@oasis-allergies.org – www.oasis.allergies.org

    Association Française pour la Prévention des Allergies (Fr)

    • La Ruche - 84, Quai de Jemmapes - 75010 Paris (France)
    • Tél : (+33)(0)1 70 23 28 14 secretariat@afpral.asso.fr - www.afpral.asso.fr

    aha! Centre pour l’allergie Suisse

    Association Française Des Intolérants Au Gluten (AFDIAG)

    • 15 rue d’Hauteville - 75010 Paris (métro Bonne Nouvelle)
    • Tél : 01.56.08.08.22  – Mail : afdiag@gmail.com - Site web 

    Société belge de Coeliaquie

    Association Luxembourgeoise des Intolérants au Gluten

    • 20 route d’Echternach - L-6182 Gonderange (Luxembourg)
    • Tél : ++352 / 621 47 47 38  – Mail : contact@alig.lu -  Site web

    VICTOR - Association française des polyallergiques

    • Maison des associations- 2bis, rue du château – 92200-Neuilly sur seine
    • Tél : (+33)(0)1 47 22 99 00 

    AFPADA association française des personnes atteintes de dermatite atopique

    • BP 36 – 77982 Saint Fargeau Ponthierry Cedex
    • Tél : (+33)(0)1 60 65 79 05 

    Association Les Petits Elfes (enfants asthmatiques)

    • 9, rue Saint Sébastien 75011 Paris
    • Tél : (+33)(0)1 43 55 87 40 

    Association asthme et allergies

    Service d’analyse des milieux intérieurs (Be)

    Infos sur le taux de pollen dans l’air 

    Allergique.org

    C’est un journal en ligne des allergies réalisé par des médecins allergologues et des associations de médecins et de malades.

    Allergies : site d’informations du Docteur Philippe Auriol sur les allergies et leurs mécanismes

    Allergienet : site sur les allergies gérés par deux allergologues 

    Fonds des Affections Respiratoires (suivi des affections respiratoires chroniques telles que l’asthme).

    - See more at: http://www.entrallergiques.com/blog/liens-utiles/#sthash.76nM8QCO.dpuf

     

    http://www.entrallergiques.com/blog/liens-utiles/

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  • Intolérance au gluten : contacts et sites utiles

    Pour améliorer le quotidien des intolérants au gluten, de nombreuses associations proposent des conseils et des services répondant aux attentes des malades. Vous trouverez ci-après des adresses, des sites et des numéros de téléphone indispensables.

    Groupe d'Étude et de Recherche sur la Maladie Coeliaque (GERMC)

    Le GERMC réunit de nombreux experts de la maladie coeliaque (gastro-entérologues, généticiens, biologistes…) de toute la France. Son but est de favoriser les échanges, la recherche et d'informer les médecins et le public. Le site propose de nombreuses informations sur l'intolérance au gluten.

    Association canadienne de la Maladie Coeliaque

    Cette association est l'équivalent de l'AFDIAG au Canada. Sur son site, vous pourrez trouver de nombreuses informations sur l'intolérance au gluten.

    Association Française des Intolérants au Gluten (A.F.D.I.A.G)

    Comme son nom l'indique, cette association a pour but de regrouper les personnes souffrant de la maladie coeliaque. Des permanences sont organisées pour recevoir les personnes sur Paris. Il est également possible de poser des questions par téléphone.

    A.F.D.I.A.G
    2 rue Vouillé
    75015 PARIS

    Tél. : 01 56 08 08 22 
    Fax : 01 56 08 08 42

    Fondation Québécoise de la Maladie Coeliaque

    Le site de la FQMC propose de nombreuses informations sur l'intolérance au gluten, des symptômes au dépistage en passant par l'histoire de la maladie. Des conseils pour la vie quotidienne sont également prodigués. Pour les Canadiens, il existe la possibilité de devenir membres pour bénéficier de services personnalisés.

    Association Française pour la Prévention des Allergies (AFPRAL)

    Constitué en 1991 à l'initiative de personnes allergiques et de parents d'enfants allergiques, l'Association Française pour la Prévention des Allergies a pour but de "promouvoir la recherche, l'information, la prévention dans le domaine des maladies allergiques".

    AFPRAL
    BP 12
    91240 Saint-Michel sur Orge

    Tel : 01 48 18 05 84 
    Fax : 01 48 18 06 14

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  • De nombreux aliments que l'on consomme régulièrement ne paraissent pas spécialement caloriques, riches en sucres ou en gras. Et pourtant, de nombreux aliments contiennent des calories insoupçonnées. PasseportSanté vous dit tout sur les calories cachées.

    Zoom sur les calories

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