• Une équipe de scientifiques indiens (le College of Chemical Sciences in Sri Lanka) vient de découvrir une méthode de cuisson du riz permettant de diviser par deux le nombre de calories qu'il apporte. Une avancée qui repose sur la chimie des aliments, tout simplement.

    Une méthode simple de cuisson du riz pour réduire de moitié le nombre de calories

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  • Une nouvelle année qui débute, et revoilà les bonnes résolutions qui débarquent au grand galop, dont celle de se mettre à refaire du sport... Pas toujours simple à mettre en oeuvre, mais il y a un moyen d'y arriver: l'entraînement par intervalles de haute intensité.

    Se remettre au sport? Court et intense: c'est bon aussi!

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  • Changement d'heure : 10 conseils pour bien vivre le passage à l’heure d'été

    Le changement à l’heure d’été c’est moins de sommeil la première nuit et c’est aussi quelques dérèglements dans notre vie quotidienne, dont on aimerait se passer. Voici quelques gestes à adopter pour un changement d’heure zen et reposé.

    changement d'heureDans la nuit de samedi à dimanche, à 2 heures du matin, il faudra ajouter 60 minutes à l’heure dite légale. Il sera donc trois heures. Ce changement soudain a des conséquences sur notre rythme biologique, notamment sur notre sommeil. Delphine Bourdet, sophrologue, nous donne quelques conseils pour passer à l’heure d’hiver sans heurt.

    Préparez-vous la veille

    Pour vous éviter tout stress inutile le lundi matin, pensez à modifier l’heure sur les appareils électroniques dans la journée de dimanche. Vous pouvez même le faire le samedi soir, une astuce qui permettra à votre organisme de s’habituer au changement d’heure avant même qu’il ne survienne. Côté pratique, dressez la table du petit-déjeuner également le dimanche soir, et préparez les vêtements que vous porterez. Ces petits gestes vous feront gagner un temps précieux le matin. 

    Décalez vos heures de sommeil

    Même si vous tentez de vous coucher plus tôt, il n'est pas certain que vous arriviez à vous endormir et gagner une heure de sommeil. Si vous avez peur de mal gérer ce cap, tentez d'avancer votre heure de réveil dans les jours qui précédent : à partir de vendredi et samedi et dimanche inclus. Ainsi, le lundi, votre organisme ne devrait pas être dérouté et le réveil se fera à une heure qu'il considère comme habituelle pour lui.

    Adoptez un rythme régulier

    Les repères, c’est important pour ne pas perturber notre rythme biologique. Veillez à être régulier dans vos horaires, en vous couchant tous les jours à la même heure. Et avant minuit, si possible !

    Préparez votre coucher

    L’environnement dans lequel vous allez vous endormir doit être sain et calme. Aérez votre chambre quelques minutes avant le coucher, changez les draps régulièrement. Aussi, débarrassez-vous ou fuyez tout appareil qui pourrait vous énerver : télé, ordinateur, jeux vidéo.

    Gérez votre fatigue

    L'essentiel est de ne pas se focaliser sur les horaires ! Ce changement d'heure est l'occasion de revenir à vos sensations corporelles. Le soir, dès que vous ressentez des signes de fatigue(bâillement, difficultés à se concentrer, les yeux qui piquent ou qui clignent...), allez-vous coucher, même s'il n'est que 21h. Si vous n'arrivez pas à dormir, restez dans votre lit, en positon allongée, sur le dos, les jambes et les bras décroisés. Pratiquez des respirations abdominales profondes, en comptant sur 3 temps à l'inspiration par le nez et en expirant sur 6 temps par la bouche. Faites une dizaine de respirations en prenant bien conscience des mouvements réguliers de votre ventre. Ensuite, essayez de sentir la lourdeur dans vos deux bras et vos deux jambes. Puis laissez venir une sensation agréable de chaleur dans vos deux bras et vos deux jambes toujours. Répétez-vous ensuite " je suis calme, de plus en plus calme". Le sommeil ne devrait pas tarder à arriver.

    Dînez léger et tôt

    Il est préférable de ne pas manger trop riche et en trop grande quantité le soir pour favoriser l’endormissement. Si vous mangez tôt et léger, la digestion sera facilitée et interférera pas avec votre sommeil.

    Evitez les excitants après 16h

    On trouve de la caféine dans beaucoup de boissons comme le café, le Coca Cola ou encore le thé. Ils sont vos alliés le matin au réveil, mais laissez-les au placard après 16h pour ne pas perturber votre sommeil.

    Non, à la grasse matinée le dimanche

    Évitez la grasse matinée le dimanche, vous risquez d’avoir du mal à vous endormir le dimanche soir. Il est également conseillé de s’exposer dès le réveil à la lumière du jour.

    Oui, à la sieste !

    Au cours de la journée, n'hésitez pas à faire une pause de quelques minutes ou, si vous le pouvez, une micro sieste de 20 minutes. Pour vous détendre, installez-vous dans un endroit calme et pratiquez un "balayage corporel", c'est à dire, ressentez chaque partie de votre corps en train de se détendre : les yeux, la mâchoire, les épaules, le ventre, les jambes...

    Régulez vos émotions

    Les changements d'heure peuvent avoir un effet sur le moral. N'essayez pas de positiver à tout prix. Prenez le temps de vous poser, de respirer et d'observer vos émotions. Ressentez-vous de la peur, de la tristesse, de la colère ? Où cela se situe-t-il dans votre corps ? Le simple fait de vous écouter, de vous recentrer sur votre respiration, va vous aider à réguler vos émotions. Ensuite, comme en méditation, gardez à l'esprit cette balance émotionnelle : soyez bienveillant avec vous-même, mais aussi ferme. Motivez-vous pour faire du sport, voir des amis... des activités qui comme le soleil, régénèrent.

    Remerciements: Delphine Bourdet, sophrologue. 

    Annabelle Iglesias

    Créé le 23 octobre 2014

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  • Des aromates naturels pour garder la forme !

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  • Dans le domaine du diabète, les nouveaux produits et services destinés au patient ne manquent pas. Ce qui est plus rare, c’est d’intégrer la personne diabétique dans la conception, le développement et l’évaluation de ces innovations : le Diabète LAB, initiative de la Fédération Française des Diabétique change la donne. Le patient est cette fois au cœur du processus d'innovation, il peut donner son avis et tester les produits. 

    La Fédération Française des Diabétiques est partie du constat que les patients étaient trop souvent les oubliés de l’innovation : les avancées technologiques, les nouveaux services sont pensés et développés par des experts (médecins, scientifiques, industriels…), alors que la personne atteinte de diabète, c’est-à-dire l’utilisateur final, est finalement mis de côté.

     

    C’est pour cela que la Fédération a lancé le Diabète LAB : « nous avons mis en place ce concept pour que toute innovation soit pensée, développée et évaluée avec les patients » résume Gérard Raymond, Secrétaire Général de la Fédération. Mettre le patient au cœur de l’innovation, c’est imaginer les usages et les solutions de demain et donc améliorer la prise en charge, le suivi et la qualité de vie des personnes atteintes de diabète.

     

    Le Diabète LAB propose 4 types de services :

    • Recueillir et affiner les besoins et les usages des patients diabétiques,
    • co-créer les concepts de produits ou de services les plus adaptés à ces besoins identifiés,
    • tester ces innovations auprès de patients volontaires, de l’idée au prototype,
    • agréer les produits et services en adéquation avec les attentes des patients.

    Le Diabète LAB est un living lab*, méthode éprouvée de recherche en innovation fondée sur la co-construction et la co-évaluation.

     

    *« Un Living Lab est une méthode de recherche en innovation ouverte qui vise le développement de nouveaux produits et services. L’approche promeut un processus de cocréation avec les usagers finaux dans des conditions réelles et s’appuie sur un écosystème de partenariats public-privé-citoyen. » Définition tirée du Livre Blanc "Qu'est-ce qu'un Living lab" – Umvelt, Dubé Patrick dir., Montréal, Mars 2014.

     

     

    Le Diabète LAB au travers d’un exemple

    Un exemple concret ? Le lancement d’une application pour smartphone qui viserait à aider le patient diabétique au quotidien. Le Diabète LAB permet de recueillir les attentes des patients : de quoi ont-ils le plus besoin ?

    • De conseils diététiques ?
    • D’une aide à la surveillance glycémique ?
    • D’outils d’aide à la préparation des consultations ?
    • Quels sont les leviers qui permettent l’appropriation de ces innovations ?

    Le Diabète LAB peut y répondre. Grâce à ces données, il est capable de proposer un concept d’application pertinent, en phase avec les besoins identifiés, que des patients diabétiques volontaires peuvent tester pendant la phase de développement. Et si l’application, une fois développée, correspond véritablement aux attentes des patients, elle peut prétendre au label de la Fédération Française des Diabétiques.

     

    Pour assurer au Diabète LAB le succès qu’il mérite, la Fédération invite l’ensemble des acteurs de santé à s’engager autour de cette initiative :

    • les patients, acteurs principaux qui connaissent mieux que quiconque leurs réels besoins et qui seront impliqués à chaque étape de développement, de l’idée au prototype ; les associations fédérées qui pourront mobiliser l’ensemble des personnes concernées par la maladie ;
    • les professionnels de santé qui seront un relais indispensable auprès de leurs propres patients.
    • Le Diabète LAB a également pour ambition d’être une réelle opportunité pour les industriels et les autorités de santé : ils pourront concevoir et développer leurs produits et services sous le regard critique - mais constructif ! - des utilisateurs finaux. 

    « Avec le Diabète LAB, et à l’aide des différents acteurs de santé, nous permettons aux patients diabétiques d’avoir accès aux services et aux produits dont ils ont réellement besoin et qui leur apportent un véritable bénéfice au quotidien », conclut Carole Avril, Directrice Générale de la Fédération Française des Diabétiques.

    Patients et proches de patients : devenez Diabèt’Acteurs !

    Aujourd’hui, l’heure est à la mobilisation, et pour que cette initiative rencontre le succès qu’elle mérite, le Diabète LAB a besoin de vous !Vous êtes atteint de diabète ? Vous voulez participer à l’élaboration des produits de demain, à l’amélioration de votre qualité de vie et de celle de milliers d’autres personnes diabétiques ?

     

    DEVENEZ DIABÈT’ACTEUR !

     

    Professionnels de santé, autorités de santé, industriels : le Diabète LAB est aussi pour vous !


    Professionnels de santé, autorités de santé, pour toute question, contactez :


    Carole Avril
    Directrice Générale
    01 40 09 24 25 
    Email : DiabeteLAB@afd.asso.fr

    Industriels, pour toute question, contactez :


    Alexis Campagne
    Responsable Relations Entreprises
    01 56 95 18 70 
    Email : partenariat.afd@afd.asso.fr


    Téléchargez l'infographie Diabète LAB

     

    infographie du lab

    DOCUMENTS ASSOCIÉS

     
    http://www.afd.asso.fr/association/actions/diabete-lab
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  • Les graines germées ont tout bon !

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  • Combien de calories est-ce que j’évite avec les édulcorants ?

    18.03.15

    Les aliments et boissons avec édulcorants permettent de réduire, voire de supprimer les calories venant du sucre. Toutefois, la quantité de calories ainsi économisée dépend de nombreux facteurs. Découvrez la nouvelle infographie qui illustre, au travers d’exemples concrets, l’épargne calorique en optant pour des denrées aux édulcorants.

    infographie-moins-de-calories-fr

    http://www.edulcorants.eu/news/combien-de-calories-est-ce-que-jevite-avec-les-edulcorants/?

     

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  • Interrogée par le quotidien britannique The Daily Mail, la nutritionniste Sarah Flowers réhabilite une série d'aliments entachés d'une mauvaise réputation. Selon elle, il est grand temps de recommencer à manger de "vrais aliments" tels que le lait entier, le beurre de cacahuète, le café, etc. à condition de les consommer sous leur forme "pure".

    Six aliments moins mauvais pour la santé qu'on ne le croit

     

    1. Le café

    Si trop de café peut énerver, compliquer la digestion et avoir un effet laxatif, la nutritionniste estime qu'une consommation modérée de café améliore la concentration, aide à perdre du poids et, à en croire certaines études, protégerait contre la maladie d'Alzheimer et la démence.

    2. Les pommes de terre

    D'après le Daily Mail, une pomme de terre de taille moyenne peut fournir jusqu'à 50% de la dose quotidienne requise de vitamine C, 30% de B6 et 25% des besoins en potassium. En outre, les pommes de terre sont également pourvues de calcium, de magnésium, de phosphore, de vitamine B et de zinc. Si vous surveillez votre poids, mieux vaut opter pour les pommes de terre nouvelles.

    3. Les oeufs

    Riches en protéines et en bonnes graisses, les oeufs rassasient. Aussi Flowers conseille-t-elle aux personnes qui souhaitent maigrir de renoncer aux céréales au petit-déjeuner et de se préparer un oeuf.

    4. Le beurre de cacahuètes

    Les cacahuètes sont bourrées de protéines, de magnésium, de potassium, de vitamines E et de fibres essentielles. Veillez toutefois à bien choisir votre beurre de cacahuètes, car certaines marques n'hésitent pas y ajouter du sucre.

    5. Le lait entier

    Pour la nutritionniste, le lait entier est bon pour la santé et contient plus de nutriments que le lait écrémé ou demi-écrémé. De plus, il rassasie et agit en coupe-faim.

    6. Le yaourt

    Le problème du yaourt ne serait pas l'aliment en soi, mais le grand nombre d'additifs. Le quotidien conseille donc de remplacer le yaourt light et/ou sucré par du yaourt entier naturel exempt de sucre et d'additifs et délicieux accompagné de fruits frais ou de compote maison.

     

     

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    http://www.levif.be/actualite/sante/six-aliments-moins-mauvais-pour-la-sante-qu-on-ne-le-croit/article-normal-371773.html?

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  • L’insulinothérapie fonctionnelle n’est pas à proprement parler une nouveauté dans le traitement du diabète de type 1. Il s’agit d’une méthode pédagogique pour aborder la gestion du diabète avec l’insuline.

    Jusqu’à présent, le diabétique s’adaptait à son insuline : repas à heures fixes pour éviter les hypoglycémies, repas équilibrés mais rigides apportant de toutes façons féculents, légumes verts et pain, que le diabétique ait faim ou non, interdiction des desserts sucrés et de sauter un repas.

    Grâce à l’insulinothérapie fonctionnelle, c’est le traitement qui doit s’adapter au mode de vie du diabétique. Ce traitement consiste à imiter le plus possible, grâce aux injections d’insuline, la sécrétion d’insuline du sujet non diabétique :

    • La sécrétion d’insuline est permanente, elle assure les besoins en énergie pour vivre, chez le diabétique on utilise de l’insuline lente pour assurer cette fonction. La dose s’évalue lors d’un jeûne total ou seulement sans l’apport de glucides. Elle se situe généralement entre 0.3 et 0.4 unités par kilo et par jour. (insuline pour vivre)
    • Au moment de chaque repas ou prise alimentaire, la sécrétion d’insuline s’adapte à la quantité de glucides (sucres) présents dans l’alimentation. De même, le diabétique va injecter une dose d’insuline rapide correspondant à la quantité de glucides qu’il a mangée. Le plus difficile est d’évaluer correctement la quantité de glucides du repas ! La dose se calcule en général en unités d’insuline pour 10 grammes de glucides, son efficacité s’évalue en mesurant la glycémie 4 heures après le repas. (insuline pour manger)
    • Enfin, lors de l’insulinothérapie fonctionnelle, chaque fois que la glycémie n’est pas dans l’objectif souhaité, en particulier glycémie trop élevée avant ou 4 heures après un repas, il est d’usage de faire un supplément d’insuline rapide pour ramener la glycémie au niveau souhaitable. (insuline pour soigner)
       

    L’insulinothérapie fonctionnelle peut ainsi se résumer en 3 verbes d’action : Vivre, manger, soigner.

    Nous remercions particulièrement le Dr C.SACHON et son équipe de l’unité d’éducation thérapeutique du service du Pr A.GRIMALDI pour l’élaboration de ces fiches pratiques à partir de leur expérience à l’Hôpital de la Pitié Salpétrière à PARIS.

    Introduction rédigée par le Dr Claude Sachon - Hôpital de la Pitié Salpetriére
    Sources :

    Mise à jour 30/04/2009

    http://www.bd.com/fr/diabetes/page.aspx?cat=6979&id=14078

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  • Regarder des émissions culinaires fait-il grossir ?

     

    TopChef, Un Dîner presque Parfait, MasterChef... le petit écran est inondé d'émissions culinaires. Et si les regarder nous faisait prendre du poids ?

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