• La première Marche Mondiale contre l'Endométriose qui aura lieu le jeudi 13 mars 2014 à Paris et dans 40 pays en simultané, est l'occasion d'évoquer la prise en charge de la douleur liée à cette maladie qui touche en moyenne 2 femmes sur 10 en France entre la puberté et la ménopause.

    Affection gynécologique fréquente, l' endométriose  (présence de muqueuse utérine en dehors de la cavité utérine) peut causer des douleurs pelviennes en période de règles, d'ovulation, lors des rapports sexuels, voire en continu. Ces douleurs, parfois insupportables, doivent faire l'objet d'une consultation chez un médecin spécialiste qui va vous proposer un traitement permettant de soulager la gêne.

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  • La réhabilitation pulmonaire est le cheval de bataille du Dr Paul Wulleman. Notre société très sédentaire est la cause de beaucoup de nos maux.

    La réhabilitation pulmonaire est le cheval de bataille du Dr Paul Wulleman. Notre société très sédentaire est la cause de beaucoup de nos maux. 

     

    La réhabilitation pulmonaire est une pratique médicale encore méconnue.

    Au Chirec, le Dr Wulleman et son équipe cherchent à mieux la faire connaître.

    Chaque année, l’hôpital de Braine-l’Alleud-Waterloo organise la fête de la réhabilitation pulmonaire. Cette année, une équipe de tournage était présente pour réaliser un petit reportage avec les témoignages des patients du Dr Paul Wulleman et de son équipe. Cette journée est avant tout l’occasion de démontrer que la réhabilitation représente une part essentielle dans la prise en charge du traitement des maladies pulmonaires chroniques. Elle procure une nette amélioration dans la qualité de vie. Malheureusement, la pratique reste méconnue, même au sein du corps médical. En Belgique, moins de 2% des patients éligibles ont accès à cette approche non pharmacologique de la maladie chronique. Le Centre de pathologie thoracique du Brabant wallon (CPTBW) met tout en œuvre pour favoriser cette réhabilitation au nom d’une approche non pharmacologique.

    Les preuves de la réussite de cette démarche? Le pneumologue Paul Wulleman en a plein: «Ma patiente la plus âgée a 93 ans et se porte comme un charme: elle fait encore ses courses elle-même. Elle se sent véritablement revivre. Il ne faut pas confondre revalidation et réhabilitation. La réhabilitation, ce que nous faisons ici, c’est prendre en charge de façon socio-psychologique les patients atteints de maladie chronique et une grande part de notre travail relève du ré-entrainement physique. Nous sommes dans l’ère de la sédentarité: les gens mangent mal, ne bougent plus assez… Après quelques séances, nos patients se sentent mieux et se demandent vraiment ce qui leur arrive. En fait, ils se sentent revivre.»

    La réhabilitation est au cœur des discussions depuis déjà de nombreuses années dans le milieu médical. Elle est recommandée par toutes les sociétés scientifiques du monde et, depuis l’an 2000, des chercheurs universitaires prônent son efficacité mais personne ne bouge. «Pourtant, explique le Dr Paul Wulleman, cette pratique a de nombreux avantages. On nous demande de faire quatre milliards d’économies dans le secteur des soins de santé. Il faut des solutions innovantes qui permettent de diminuer de nombreux coûts au niveau de la sécurité sociale. Je suis persuadé que la réhabilitation est une des pistes à envisager.»

    En effet, de nombreuses études scientifiques prouvent que l’exercice physique facilite la guérison, après traitement de certaines maladies, comme le cancer. C’est aussi un meilleur traitement contre la dépression que les anxiolytiques prescrits à tour de bras. Au niveau des douleurs, ce réentraînement physique présente des avantages non négligeables: «Depuis que je suis mes séances ici, explique une patiente du Dr Wulleman, j’ai arrêté les antidouleurs et les antiinflammatoires. En quelques mois, je me sens revivre. Ma voiture est tombée en panne, pas de soucis, j’ai réussi à prendre les transports en commun, chose que je n’osais plus imaginer il y a quelques mois.»

    www.chirec.be.

    http://www.lavenir.net/article/detail.aspx?articleid=dmf20140921_00531966

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  • Popularisé dans les années 70, l’index glycémique a d’abord été pensé pour les personnes diabétiques. Depuis, son intérêt pour la perte de poids convainc peu à peu la sphère scientifique... Qu’en est-il vraiment ? Quels sont les aliments à privilégier ? Le point sur un concept pas si simple.

    La naissance de l'index glycémique

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  • Quelles sont les causes de l'artérite des jambes ?

    Dans la vaste majorité des cas, l’artérite oblitérante des membres inférieurs (AOMI) est due à des dépôts de cholestérolplaques d’athérome ») sur la paroi interne des artères qui irriguent les jambes. Dans certains cas, la cause peut être congénitale ou liée à une maladie inflammatoire chronique (par exemple une maladie auto-immune).

    Peut-on prévenir l'artérite des jambes ?

    La prévention de l’AOMI repose sur la prévention des facteurs de risque de maladies cardiovasculaires : alimentation équilibrée, exercice physique régulier et arrêt du tabac.

    En cas d’excès de cholestérol ou dhypertension artérielle, les traitements de ces maladies contribuent également à prévenir les artérites des membres inférieurs.

    Comment diagnostique-t-on l'artérite des jambes ?

    Le diagnostic de l’artérite oblitérante des membres inférieurs (AOMI) repose d’abord sur la comparaison entre la pression sanguine dans les artères de la cheville et dans celles du bras, au moment où les ventricules du cœur se contractent (pression systolique), le patient étant couché : c’est ce qu’on appelle l’index de pression systolique (IPS).

    Chez les personnes souffrant d’AOMI, la pression sanguine au niveau de la cheville est plus faible qu’au niveau du bras (le sang passe moins bien dans la jambe). Lorsque la pression sanguine au niveau de la cheville est égale à moins de 90 % de celle au niveau du bras (IPS inférieur à 0,9), le diagnostic d’AOMI est posé.

    Si l’IPS est inférieur à 0,8 mais supérieur à 0,4, on parle d’artérite modérée. En dessous d’un IPS de 0,4, l’artérite est dite sévère (la pression sanguine au niveau de la cheville est inférieure à 40 % de celle mesurée au bras). Dans certains cas, la pression systolique  au niveau de la cheville est si faible que le médecin ne peut pas y sentir le pouls.

    Ensuite, le médecin peut faire effectuer des examens complémentaires pour confirmer ce diagnostic et évaluer sa sévérité : échodoppler (une échographie de la circulation dans l’artère), voire angiographie (radiographie ou scanner après injection d’un produit opacifiant).

    Le dépistage systématique de l'artérite des jambes
    Chez certains patients, le médecin mesure systématiquement l’IPS afin de dépister une artérite des membres inférieurs le plus précocement possible :
    • chez les personnes qui ont un risque cardiovasculaire élevé ;
    • tous les cinq ans, chez les personnes diabétiques âgées de plus de 40 ans ou qui ont un diabète depuis plus de vingt ans, ainsi que celles qui ont d’autres facteurs de risque cardiovasculaire ;
    • chez les personnes âgées qui présentent un risque d’escarre du fait d’une immobilisation prolongée.

     

    http://www.eurekasante.fr/maladies/coeur-circulation-veines/arterite-jambes.html?pb=causes-diagnostic

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  • Depuis des milliers d’années, le thym fait partie de la vie quotidienne des hommes, tant pour ses usages culinaires que pour ses bienfaits médicinaux. Du traitement contre la bronchite à son pouvoir anxiolytique, PasseportSanté vous livre cinq des vertus de cette plante aromatique bien connue.

    Le thym traite la bronchite

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  • Au début de la maladie, l’artérite oblitérante des membres inférieurs (AOMI) ne provoque pas de symptômes. Ceux-ci apparaissent lorsque le diamètre de l’artère est suffisamment réduit pour gêner la circulation du sang.

    Lorsque des symptômes apparaissent, ils prennent des formes de sévérité croissante. Ils apparaissent d’abord lorsque la personne marche (ils sont dits « d’effort »), puis de manière permanente.

    L'ischémie d'effort

    L’ischémie est l’insuffisance d’apport sanguin et, en particulier, d’oxygène. Lorsqu’une personne marche ou court, les muscles de ses jambes ont besoin de davantage d’oxygène mais, si elle souffre d’artérite oblitérante, le débit autorisé par ses artères ne suffit pas. On parle alors d’ischémie d’effort.

    Cette ischémie peut être trop légère pour provoquer des symptômes (« ischémie d’effort asymptomatique ») ou déclencher des crampes dans les muscles d’une ou des deux jambes (« ischémie d’effort symptomatique »). Ces crampes disparaissent au repos : on parle de « claudication intermittente ». Plus l’AOMI est sévère, plus rapidement cette claudication apparaît et moins la personne est capable de marcher sur de longues distances.

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  • Ce site m'a été proposé par CITRONBLEU   :

    http://lagazettedecitronbleu.eklablog.com

     

    Bienvenue sur le site Diab'chef

     

    Le concours de recettes gourmandes pour tous,

    adaptées à l'équilibre alimentaire des personnes diabétiques

     

    Diab'chef sera ouvert du 1er octobre au 15 novembre 2014 

     

    A très bientôt !

     

    Pourquoi Diab'chef ?

     Tout le monde sait qu’il n’est pas facile de cuisiner bon et sain quand on a peu de temps ! Et ça se complique encore plus quand on a un diabète… On est souvent à la recherche d’idées de recettes pour se faire plaisir à table malgré sa maladie.  Comment s’y retrouver parmi toutes les informations que l’on entend sur le diabète et l’alimentation ?

    Comment diversifier le contenu de son assiette ?
     
    Comment doser les apports en glucides ou en lipides dans l’élaboration de son menu ? 

    Des astuces simples permettent souvent d’améliorer les apports nutritionnels de son repas !

    Les conseils diététiques qui encadrent le diabète sont les piliers d’un bon équilibre alimentaire valables pour tous. 

    C’est de ce constat qu’est né Diab'chef !

     


      Partager des recettes simples, astucieuses et équilibrées et montrer que le diabète permet de rester gourmand et curieux en cuisine !

     http://diabchef.fr/site/diab-chef/1000181978;jsessionid=H5uclETY!g8oSQr7tclseggE.gl3?pg=1000181978

     

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  • L’artérite des jambes, également appelée artérite des membres inférieurs ou artériopathie oblitérante des membres inférieurs (AOMI), est un rétrécissement du diamètre des artères qui irriguent les jambes. Cette maladie est le plus souvent liée à des dépôts de cholestérol sur la paroi de ces artères, dépôts qui gênent la circulation du sang et provoquent des crampes et des douleurs dans les jambes, voire des difficultés pour marcher (la « claudication intermittente »).

    L’artérite des jambes est associée à un risque élevé de maladies du cœur et des vaisseaux sanguins. Elle justifie la mise en place de traitements pour réduire ce risque.

     

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  • L’âge, la multiplicité des pathologies et leur intrication chez les séniors ont un effet non négligeable sur les complications du diabète, particulièrement celles qui concernent : l'œil et la vision, les reins, le cœur et les artères, les pieds ou encore les troubles neuro-psychiques.

    Atteinte ophtalmologique 

    En dehors des atteintes spécifiques de la rétinopathie diabétique et de l’œdème maculaire, dont la fréquence augmente avec l’âge, la vision peut être altérée par des affections associées comme :

    • le glaucome,
    • la cataracte
    • ou la dégénérescence maculaire.
    Les anomalies de la vision constituent une source majeure de handicap et d’isolement.

    Insuffisance rénale

    L’insuffisance rénale est très fréquente chez les diabétiques âgés et conditionne les possibilités thérapeutiques. Elle résulte de la conjonction de multiples facteurs intégrant la néphropathie diabétique, l’hypertension artérielle, les affections de l’appareil urinaire (uropathies obstructives) et des causes iatrogènes (interactions médicamenteuses).

    Coronaropathie

    Le diabète et l’âge concourent à majorer la fréquence et la gravité de la maladie coronaire, notamment chez les femmes. Souvent cliniquement silencieuse, l'insuffisance coronarienne se révèle volontiers au stade des complications. Le dépistage d’une coronaropathie est souhaitable chez un malade à risque lorsque l’état clinique le permet, sous réserve que son diagnostic conduise à une modification de la prise en charge.

    Troubles cardiaques © JPC-PROD - Fotolia.comTroubles cardiaques © JPC-PROD - Fotolia.com

    Insuffisance cardiaque

    L’insuffisance cardiaque constitue une cause majeure de mortalité et d’hospitalisation. Son origine est très souvent multifactorielle, impliquant l’HTA, la maladie coronaire et les valvulopathies. Le diagnostic d’insuffisance cardiaque, même débutante, imposait l’arrêt des glitazones. Le retrait de cette classe médicamenteuse a fait disparaître ce risque.

     

    La prescription d’un régime sans sel doit être raisonnée et surveillée en raison des risques d’hyponatrémie et de dénutrition.

    Troubles neuro-psychiques

    Les complications neuro-psychiques handicapent les diabétiques âgés et génèrent des difficultés considérables dans la prise en charge :

    Troubles cognitifs

    Les troubles cognitifs et les démences sont globalement plus fréquents chez les diabétiques, notamment s’il existe une hypertension associée. Ces manifestations entraînent un obstacle majeur à la prise en charge de ces malades.

    Dépression

    Les états dépressifs s’avèrent plus fréquents chez les diabétiques âgés. Ils constituent un facteur à la fois confondant et aggravant d’un syndrome démentiel.

    Accident vasculaire cérébral (AVC)

    La fréquence des accidents vasculaires cérébraux ischémiques est globalement triplée. Cette complication constitue une cause majeure de handicap et de décès.

    Pied diabétique

    Soins des pieds © pst - Fotolia.comSoins des pieds © pst - Fotolia.com

    La neuropathie, qui supprime le signal d’alarme de la douleur, l’artériopathie et les troubles statiques contribuent à augmenter le risque de complications du pied chez la personne âgée diabétique. Les difficultés dans les soins expliquent le fréquent retard de la prise en charge des plaies. Le dépistage des malades à haut risque et la prescription de soins préventifs sont donc indispensables.

     

    Crédit photo en haut de page : © Elena Ray - Fotolia.com

     

    http://www.afd.asso.fr/diabete-et/personnes-agees/complications

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  • Guide parcours de soins Diabète de type 2 de l'adulte

    Date de validation
    mars 2014

     

    Ce guide explicite le parcours de santé d’une personne adulte ayant un diabète de type 2 en médecine de ville et notamment en médecine générale. Il est construit autour de 6 épisodes de soins identifiés comme les moments où existent d’importants risques de dysfonctionnement :

    1. Le repérage, le diagnostic et la prise en charge initiale
    2. La prescription et les conseils d’une activité physique adaptée
    3. La prescription et les conseils diététiques adaptés
    4. L'initiation d'un traitement par insuline
    5. La découverte d’une complication
    6. Le dépistage et la prise en charge du diabète gestationnel

     

    Le guide comporte aussi une description synthétique des points importants du traitement et du suivi du diabète de type 2 en dehors des complications.

    Il est accompagné d'une synthèse.

     

    Documents

     
    Mis en ligne le 24 avr. 2014
     
    http://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_1735060/fr/guide-parcours-de-soins-diabete-de-type-2-de-l-adulte%3Fxtmc%3D%26xtcr%3D1
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