• Les complications associées au diabète à long terme affligent une proportion importante des diabétiques : environ 4 sur 10 en souffrent, indépendamment du type de diabète.

    Un taux de glucose sanguin (ou glycémie) trop élevé, même de façon périodique, peut occasionner avec le temps de graves problèmes de santé.

    Plus le diabète apparaît tôt dans la vie, plus le risque de complications s’accroît. Il est cependant tout à fait possible de retarder ou de prévenir la majorité des complications par un contrôle strict de la glycémie.

    Un diabète non diagnostiqué ou mal contrôlé peut aussi entraîner de graves complications aiguës, qui sont des urgences médicales.

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  • Bonnes résolutions ou pas, nous ne mangeons pas toujours des aliments de qualité. Au contraire, nous nous tournons souvent vers ce qui est à portée de main. Cette recherche du plaisir rapide et facile n’a pas que des désavantages, car elle peut servir à élaborer de nouvelles stratégies pour nous améliorer.

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  • Les complications du diabète sont les effets du diabète (type 1 ou 2) sur différents organes ou fonctions de l'organisme. Elles peuvent se manifester par des symptômes mais sont souvent silencieuses. Quelles sont les complications diabétiques ? Quel dépistage ? Comment les éviter ou freiner leur développement ? Quelles conséquences pour la santé ?

     

    visuel illustrant les différentes complications du diabète

     

    Complications = effets du diabète sur l'organisme

    Le rôle des vaisseaux sanguins et des nerfs dans l'organisme

    Les petits et grands vaisseaux sanguins sont les canaux qui permettent au sang de circuler et d'irriguer tout le corps jusqu'aux organes.

     

    Composés de fibres nerveuses, les nerfs, eux, transmettent les messages moteurs du système nerveux central vers les organes, et inversement, les messages sensitifs et sensoriels des organes vers le système nerveux central.

     

    Les nerfs communiquent au cerveau les informations perçues par nos sens (douleur, chaud, froid, etc.) et permettent à l'organisme d'appréhender tous les événements extérieurs.

    Effets du diabète sur les nerfs et les vaisseaux

    Les hyperglycémies répétées, prolongées, et le déséquilibre du diabète provoquent une altération des nerfs et des vaisseaux et, par voie de conséquence, une altération de certaines cellules de l'organisme, avec des répercutions sur plusieurs organes.

     

    Que vous soyez diabétique depuis longtemps ou depuis quelques mois, de type 1 ou de type 2, jeune diabétique ou "expérimenté", soigné par insuline ou par traitement médicamenteux, suivi régulièrement ou non par votre médecin... ce dossier s'adresse à toutes les personnes atteintes de diabète et à leurs proches.

    Sommaire des différentes complications

     

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    http://www.afd.asso.fr/diabete/complications

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  • Oubliez les collyres : voici la lentille de contact-collyre, ou plus exactement une innovation d’un laboratoire américain permettant de soigner le glaucome chronique. Une innovation sur laquelle plusieurs chercheurs louchaient déjà depuis plusieurs années, sans jamais réussir à la confectionner.

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  • Pleins feux sur le coût des soins de santé

    03 mars 2014 - Auteur : Jocelyne Minet

    Approuvées tout récemment par le Conseil des ministres, quatre nouvelles mesures ont pour ambition d’apporter, pour le patient, plus de transparence dans le coût de ses soins de santé. Détails.

    Il n’est pas toujours facile pour les patients que nous sommes de nous faire une idée exacte du coût réel d’un traitement. L’avant-projet de loi proposé par laministre des affaires sociales et de la santé, Laurette Onkelinx, se décline en quatre mesures pour nous y aider.

     

    QUELLES OBLIGATIONS CONCRÈTES ?

    1. Reprendre le montant total payé par le patient.L’attestation de soins (ou autre document assimilé) devra obligatoirement mentionner le montant total que l’assuré a versé au dispensateur de soins ou de fournitures. Ce principe s’applique tant aux personnes physiques qu’aux sociétés, et peu importe leur statut de conventionnement puisque les attestations sont utilisées par tous les prestataires.

    Cela renforce également le rôle important des mutualités de conseil et de défenses des patients, dès lors qu’elles pourront mieux expliquer les différences entre ce que le patient a réellement payé et ce qui lui est remboursé.

     

    2. Fournir une facture au patient. Les factures sont de plus en plus établies de manière électronique et les attestations, directement envoyées à la mutualité. C’est déjà le cas dans les hôpitaux, les maisons de repos, pour les infirmiers, les laboratoires et les services de tarification des pharmaciens. A partir du 1erjanvier 2015, et pour autant que le développement technique suive, les médecins pourront aussi le faire via My Carenet. Pour les dentistes, cela devrait intervenir dans le courant de l’année 2015. Le patient devient un peu l’acteur oublié sur le plan administratif.

    Le médecin devra désormais fournir un document justificatif et le patient recevra une « facture patient » qui reprendra en détail chacune des prestations effectuées : l’intervention de l’assurance maladie, l’intervention personnelle et les suppléments perçus.

    Cette nouvelle mesure entrera en vigueur le 1er janvier 2015, ce qui donne le temps aux commissions des différents secteurs de définir les modalités d’application. Des mesures de contrôle seront également prévues.
    A terme, ces dispositions s’étendront à l’ensemble des prestataires de soins, qu’ils soient conventionnés ou non. 

    3. Mieux informer sur les suppléments demandés par les laboratoires d’analyses. Lorsque le médecin traitant estime nécessaire de demander une analyse (pour un prélèvement sanguin, par exemple) à un laboratoire de biologie clinique,le patient ne connaîten général pas ce laboratoire et n’a jamais été en contact avec lui. Et trop souvent, il se retrouve face à une mauvaise surprise lorsqu’il en reçoit la facture et se rend compte que le médecin biologiste qui a pratiqué l’analyse a facturé des suppléments d’honoraires parce qu’il n’était pas conventionné.

    Par cette nouvelle mesure, le médecin traitant devra informer son patient du statut de conventionnement (et donc de ses conséquences financières) du médecin biologiste chargé de l’analyse.

    4. Encadrer plus strictement les acomptes. Dorénavant, un acompte pourra être établi uniquement dans les limites fixées par les conventions et accords et un reçu sera délivré. A nouveau, ces dispositions définies au sein des accords et conventions pourront être rendues obligatoires à l’ensemble des prestataires de soins (conventionnés ou non) par arrêté royal simple, mais après avis des commissions de conventions concernées (positif ou négatif).

     

    CONCRÈTEMENT

    Les prestataires de soins doivent déjà afficher clairement dans leur salle d’attente s’ils sont conventionnés ou non, mais la visibilité laisse parfois à désirer. L’INAMI, en tant que source officielle, prévoit donc de vous faire savoir sur son site internet si un prestataire de soins (médecin, kiné, dentiste,...) est conventionné ou non : suivez l’onglet « Citoyens », puis « Rechercher un dispensateur de soins » ou directement via l’adresse : https://www.inami.fgov.be/webprd/appl/psilverpages/fr/.

     

    l À partir du 1er juillet 2014, les hôpitaux devront améliorer l’information des patients avant leur admission à l’hôpital. Actuellement, vous ne recevez les informations financières relatives à une hospitalisation qu’au moment de votre admission ou peu avant. Ce qui ne vous laisse que peu voire pas de temps pour mesurer toutes les implications financières de vos choix. Les nouvelles dispositions prévoient que les hôpitaux devront mettre les documents informatifs à votre disposition sur leur site internet, vous donner les références d’une personne à contacter pour obtenir des informations plus personnalisées et davantage de détails sur les frais liés à votre hospitalisation. Un travail est également en cours avec le secteur, les mutualités et les patients pour accroître la lisibilité et l'efficacité de la déclaration d’admission.

     

    Source : www.laurette-onkelinx.be

     

    http://plusmagazine.levif.be/fr/011-9993-Pleins-feux-sur-le-cout-des-soins-de-sante.html

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  • Laurette Onkelinx a démenti les informations du Het Nieuwsblad et De Standaard concernant la suppression du remboursement des maladies chroniques. Elle a réagi sur son compte Facebook.

    La ministre de la Santé publique Laurette Onkelinx a dénoncé ce vendredi les «mensonges» diffusés selon elle dans la presse concernant la suppression du remboursement de certains traitements hospitaliers de malades chroniques.

    Elle affirme qu’il n’est absolument pas question de changer quoi que ce soit à la prise en charge des malades chroniques par l’assurance obligatoire.

    Ce matin, une suppression de 10 millions d’euros pour les maladies chroniques avait été annoncée. Les patients qui sont traités pour la énième fois à l’hôpital pour leur maladie chronique n’auraient plus été remboursés, avait-on appris. Cela permettait à l’assurance-maladie d’économiser 10 millions d’euros, écrivaient Het Nieuwsblad et De Standaard avant d’être démenti par la ministre.

    Sur Facebook, elle dit se demander «qui a intérêt ces derniers temps à colporter des informations inexactes et mensongères qui inquiètent inutilement les patients et remettent en cause notre politique de santé».

    Décision commune

    À la suite du conclave budgétaire 2013 et du travail d’une task force, certains forfaits de soins en matière d’hospitalisation de jour ont été intégrés dans le financement général des hôpitaux, afin de mettre fin aux disparités importantes et non justifiées qui y étaient constatées, explique Mme Onkelinx.

    Les représentants de la task force ont estimé que ce transfert pouvait générer une économie de 10 millions d’euros, en ramenant ce financement à son niveau de 2012.

    «Il s’agit d’une décision portée par l’ensemble des acteurs concernés, qui ne touche absolument pas au remboursement, par l’assurance maladie, des soins prodigués aux patients», souligne la ministre.

    Modification du mode de facturation

    «Cette modification concerne le mode de facturation de toutes les prestations réalisées en hôpital de jour. Et elle n’a pas d’influence sur la prise en charge par l’assurance obligatoire», ajoute-t-elle.

    À la suite de cette modification de facturation, cette prise en charge n’est plus reconnue par les assurances hospitalisation comme une prestation en hôpital de jour, avec comme conséquence que ces assurances hospitalisation ne prennent plus en charge les tickets modérateurs et les éventuels suppléments.

    Alertés de cet effet, tous les acteurs de terrain (INAMI, hôpitaux et mutualités) vont apporter des modifications à la facture des patients pour que ces prestations puissent à nouveau être prises en charge par les assurances hospitalisation des patients. La solution proposée sera formellement adoptée le 10 mars prochain, avec effet rétroactif au 1er janvier 2014, selon Mme Onkelinx..

    http://www.lavenir.net/article/detail.aspx?articleid=DMF20140307_00444538&utm_source=lavenir&utm_medium=newsletter&utm_campaign=daily&utm_content=general-news&ID=112969&POSTALCODE=1200

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  • Les patients qui sont traités pour la énième fois à l’hôpital pour leur maladie chronique ne seront plus remboursés, a-t-on appris ce vendredi. Cela permettra d’économiser 10 millions d’euros.

    La ministre de la Santé publique Laurette Onkelinx veut qualifier les maladies chroniques de «soins ambulatoires», ce qui permettrait à l’assurance-maladie d’économiser 10 millions d’euros, écrivent Het Nieuwsblad et De Standaard ce vendredi.

    Laurette Onkelinx supprime cette disposition pour lutter contre les abus. En qualifiant les traitements intermédiaires de «soins ambulatoires», ils ne vaudront plus comme hospitalisation pour laquelle l’assurance hospitalisation complémentaire intervient. Le ticket modérateur ne serait ainsi plus couvert. Selon le site médical Mediquality.net, cela peut représenter en net pour les patients une différence de plusieurs centaines d’euros par an.

    Le remède est pire que le mal

    Selon Marc Moens, du syndicat de médecins ABSyM, le remède est pire que le mal. Mais il refuse de pointer Laurette Onkelinx du doigt. «Elle s’est toujours souciée des maladies chroniques», souligne-t-il.

    Marc Moens en veut aux mutuelles, «qui offrent la grande majorité des assurances hospitalisation complémentaires». «Elles se sont concertées avec les hôpitaux concernant les nouvelles règles. Soit elles n’ont pas vu les effets secondaires, et elles sont incompétentes. Soit elles les ont vus, et elles se mettent des millions d’euros en poche.»

    Les mutualités rejettent ces accusations, affirmant que c’est le secteur privé qui est le plus gros pourvoyeur d’assurances complémentaires.

    .http://www.lavenir.net/article/detail.aspx?articleid=DMF20140307_00444538&utm_source=lavenir&utm_medium=newsletter&utm_campaign=daily&utm_content=general-news&ID=112969&POSTALCODE=1200

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  • D’où viennent les sécrétions nasales lorsque l’on est enrhumé ? Où est évacué le mucus ? Comment appelle-t-on ceux qui mangent leurs crottes de nez ?


    D’où viennent les sécrétions du nez quand on est enrhumé ?

     

    On nous demande d’où viennent les sécrétions du nez quand on est enrhumé ? Et bien ce liquide provient de la muqueuse nasale.

    Elle tapisse la paroi supérieure des fosses nasales où se trouvent les cellules de l’odorat. En temps normal, cette muqueuse sécrète, grâce à de petites glandes, un liquide épais et collant : le mucus. 

    Son rôle est d’humidifier et de réchauffer en permanence l’air inspiré. C’est aussi un moyen de piéger les microparticules dans l’air, une sorte de filtre naturel qui protège les poumons. Il contient en effet un nombre très important de globules blancs spécialisés dans l'ingestion et la destruction de ces micro-organismes : c'est ce qu’on appelle la phagocytose nasale.

    En temps normal, ce mucus est  évacué dans l’arrière-gorge puis passe dans le tube digestif. Sans que l’on s’en rende compte, on peut ainsi avaler près d’un litre de mucus chaque jour.

    Si ce mécanisme de protection est efficace contre la plupart des micro-bactéries, d’autre en revanche apprécient particulièrement ce milieu chaud et humide et vont en profiter pour se multiplier dans la muqueuse nasale. C’est le cas des virus responsables du rhume.

    En cas d’infection, la muqueuse nasale gonfle et la production de mucus augmente pour évacuer un maximum de virus hors de la cavité nasale. On a le nez qui coule. Mais il peut aussi se boucher.

    L’inflammation de la muqueuse entraîne un rétrécissement des tuyaux d’évacuation. Le mucus ne peut plus s’écouler. Il peut alors remplir les sinus et déclencher des sinusites, ou couler dans l’arrière-gorge.

    En cas de production excessive de mucus, les cellules olfactives ne peuvent plus jouer leur rôle. Voilà pourquoi on perd l’odorat quand on est enrhumé. Quant à la couleur de ce mucus qui sort du nez, il peut être transparent, jaune ou vert.

    En savoir plus :

    http://www.allodocteurs.fr/actualite-sante-d-ou-viennent-les-secretions-du-nez-quand-on-est-enrhume--1379.asp?1=1

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